NUCLÉOSYNTHÈSE

La nucléosynthèse est l'ensemble des processus qui permirent la formation des noyaux atomiques au cours de deux étapes successives de l'évolution :

- Epoque primordiale, au cours de laquelle, les NOYAUX des six premiers éléments chimiques se créèrent;

- Epoque stellaire durant laquelle, au cœur des étoiles, se formèrent les NOYAUX atomiques au delà du sixième élément chimique jusqu'aux plus complexe.

EPOQUE PRIMORDIALE

Revenons à l'époque où les grains Feynman assemblés en particules primaires instables, sous l'action de l'agitation thermique, s'assemblaient en amas tout aussi instable parmi lesquels se trouvaient des NEUTRONS (oN) relativement stables.

Les NEUTRONS étaient fait d'un volume (Vo) rempli d'une quantité de grains Feynman dont le cumul gravitationnel avait une capacité énergétique (Eo = mo . c2) liée à un mode de résonance accordé sur la fréquence (fo = Eo / h = 2,27196.1023Hz).

D'autre part le cumul gravitationnel générait à l'extérieur du NEUTRON un champ gravitationnel caractérisé par des vecteurs de force

o= G . mo ↔ (Eo = mo . c2).= 1,5053.10-10 Joules)

Les NEUTRONS moins de 15 minutes après leur formation se désintégrèrent

oN = 1H + β- + ν + EC

1 Noyaux d'atomes d'hydrogène

Ceux-ci ne sont autres que des PROTONS faits d'un volume :

1 - entouré d'une unité (q+) d'électricité

2 - contenant une quantité de grains Feynman dont le cumul gravitationnel possédait une capacité énergétique liée à un mode de résonance (Rp).

les NEUTRONS étant dépourvus d'une enveloppe électrique leurs grains Feynman ne supportent que la faible pression de la tension superficielle. A l'inverse ceux du PROTONS supportent la pression d'une unité (q+) de charge électrique et l'expansion de l'énergie cinétique desdits grains de sorte qu'il se crée un équilibre entre ces forces antagonistesce ce qui modifie d'un facteur (kp) son mode de résonance.

kp = ( Eo / Eu ) z / (A + da) = 1, 00868. z / (A + da) = 1,0007
on en déduit : Rp = Ep . kp / h = fo = 2,27.1023

Par ailleurs le cumul gravitationnel génère à l'extérieur du PROTON un champ gravitationnel égal à

Fp = G. mp.= G . Ep/ c2 ou Ep = 1,672.10-27 kg = 938,272 MeV)
mp = 1,67.10-27 kg

Dans des conditions normale les PROTONS, ou les noyaux d'hydrogène ont une durée de vie estimée à (2.1028 années) c'est dire qu'ils sont extrêmement stables.

NOYAUX du deutérium (2H), ISOTOPES d'hydrogène

Sur fond omniprésent du fluide du vide le nuage chaud (environs 100 °C) qui rempli l'univers est composé, d'une part, de particules primaires instables dont certaines s'étaient assemblées en amas instables, et d'autre part, de PROTONS ou NOYAUX d'hydrogène, d'ÉLECTRONS et de NEUTRINOS, tous trois très stables et de quelques NEUTRONS en attente de leur désintégration.

Un NEUTRON (°N), peu après sa formation, avant de se désintégrer, avait le temps de rencontrer un PROTON ou NOYAU d'hydrogène (1H). Aucune barrière électrique ne les séparant, ils se pénétrèrent et formèrent un NOYAU instable :

oN + 1H = (1,674954 + 1,672648) 10-27 kg = 3,3476 .10-27 kg

Un noyau instable est un volume entouré d'une unité (q+) d'électricité ou les grains Feynman sont agités tous azimuts.

Comme dans une cocotte minute, le surplus de pression s'expulse sous la forme d'un jet de vapeur, ici l'agitation thermique est suffisante pour que lors de chocs le surplus de masse s'expulse sous forme de jets de grains Feynman successifs. Dès que le cumul gravitationnel se retrouve en phase avec la fréquence (fo) du fluide du vide le NOYAU retrouve sa rigidité.

Les physiciens dont Luc Valentin dans son livre physique subatomique donne l'excès de masse des différents noyaux. Ici pour le deutérium (2H) il donne (md = 0,02,34.10-27), ce qui implique :

oN + 1H - md = 2H =3,347 0,0234).10-27 = 3,346.10-27 kg

il en résulte Ea = 1870, MeV et ka = 0,50424 ce qui implique :

Ra = 0,50424 X 1870, / 4,1355.10-21 = 2,269 Hz = fo

Nous sommes là en présence des caractéristiques d'un deutérium stable en phase avec la fréquence (fo) de l'oscillation de la matière du vide.

NOYAUX de tritium ( 3H), ISOTOPES d'hydrogène

Un NEUTRON (°N), peu après sa formation, avant de se désintégrer, eut le temps de rencontrer un deutérium (2H). Aucune barrière électrique ne les séparant, ils se pénétrèrent ( oN + 2H) ce qui créa un volume instable :

oN + 2H = (3,3246 + 1,6749) 10-27 kg = 4,999 .10-27 kg

Dans ce volume, comme la vapeur d'eau dans une cocotte, les grains Feynman filtrèrent à travers l'unité d'électricité (q+) de la surface jusqu'à en expulser, selon Luc Valentin, une quantité égale au défaut de masse (md = 2,66.10-29 kg). A l'instant où cette quantité de grains fut expulsée, le mode de résonance du cumul gravitationnel en se retrouvant en phase avec la fréquence (fo) du fluide du vide, le NOYAU devint stable :

oN + 2H - md= (4,999 .10-27 - 2,66.1029) = 3H = 4,972 10-27 kg

pour ka = 0,336 on a Ra = 2, 27 .1023 Hz = fo

NOYAU d'hélium 3He

La quantité (4,972.10-27kg) de grains Feynman gravitationnel contenue dans un tritium exerce une pression que ne peut équilibrer une seule unité (q+) d'électricité, de sorte qu'au cours de sa courte vie (environ douze ans), à un moment ou un autre, l'équilibre se rompant l'oscillation cessa. Les grains Feynman des alvéoles formèrent des amas dont certains se groupèrent en un NEUTRON qui rapidement se désintégra.

Désintégration β- : dans un noyau dont l'énergie est trop importante par rapport au nombre (z) d'unités (q+) d'électricité, il se forme un NEUTRON (°N) qui s'y désintègre selon la formule habituelle

°N → P+ + β- + ν + Ec

Lors de la désintégration de ce NEUTRON dans le tritium, le PROTON qui en résultait , par répulsion, ouvrit dans la membrane positive une fenêtre par ou s'envola l'ÉLECTRON (β-), alors que le PROTON mêla ses grains Feynman à ceux du noyau et ajouta une unité (q+) à celle de l'enveloppe nucléaire.

Il en résulta que le noyau de tritium (3H ou z = 1) se transforma en un noyau d'Hélium (3He ; z = 2) selon la figure ci-dessus et la relation ci-dessous. Cette transformation se fit sans apport de grains Feynman puisque le NEUTRON s'était formé à partir des propres grains du tritium.

3H → 3He + β-+ ν + Ec

La quantité de gaz Feynman gravitationnel (5,0078 10-27 Kg de l'hélium (3He) est identique à celle du tritium. Elle s'équilibre avec les deux unités (q+) d'électricité. Le mode de résonance (Ra) du cumul gravitationnel est accordé sur l'harmonique deux de la fréquence (fo) du fluide du vide.

La pression des deux unités (q+) sur le cumul gravitationnel modifia le mode de résonance du noyau d'hélium (3He) d'un facteur (Ka = 0,672)

0,672 X 2809,39 / 4,1369.10-21 = 4,5636.1023 = 2 fo

2 NOYAU de l'ATOME d'hélium 4He

Selon le même processus que précédemment en abandonnant un surplus de grains Feynman égale à (md= 0,0043.10-27) Un neutron, en pénétrant un noyau d'hélium (3He), forma le volume de gaz Feynman d'un noyau (4He) entouré d'un champ gravitationnel présentant des vecteurs de force (Fa = G . ma)

Ma = oN + 3He md =(5, 0078 + 1,674954 0,0043).10-27 = 6,677 10-27 Kg

Ea = 3728,37 MeV et ka = 1,00868 z / A = 0,504

Il en résulte pour le noyau d'hélium stable (4He) ou (z = 2) possède un mode de résonance de son cumul gravitationnel égal à

Ra = 0,505 X 3728,35 / 4,1356.10-21 = 4,5527.1023 Hz = 2 fo

Pour simplifier nous supposons que le surplus de grains Feynman se réalise au moment ou le NEUTRON pénètre le PROTON.

NOYAU ISOTOPE 6He d'hélium

Un NEUTRON rencontrant un noyau d'hélium (4He) le pénétra. En abandonnant un surplus de grains Feynman égal à (md = 0,03137 .10-27). Il se forma un volume de l'hélium (5He) constitué d'une quantité de gaz Feynman gravitationnel constituant un cumul gravitationnel générant à l'extérieur un champ gravitationnel présentant des vecteurs de force (Fa = G . ma)

Ma = 4He + oN = (6,646 + 1,674954) 10-27 = 5He = 8,32.10-27 Kg

Ce nouveau NOYAU d'hélium (5He) radioactif avait une durée de vie inférieure à la seconde, ce qui pouvait suffire à ce qu'il rencontre un second NEUTRON qui le pénétra en abandonnant un surplus de gaz (md = 0,020.10-27). Il en résulta un noyau d'hélium (6He)

ma = oN + 5He = (8,32 + 1,674954 - 0,02).10-27 = 6He = 9,975.10-27 Kg
Ea = 5595 MeV et ka = 0 ,336

Ra = 0,336 X 5595/ 4,1356.10-21 = 4,5458.1023.= 2. Fo

Noyau isotope du lithium 6Li

Le noyau d'hélium (6He ou z = 2) est un isotope radioactif dont la quantité de gaz Feynman gravitationnel est trop importante par rapport aux deux unités (q+) de son enveloppe, de sorte qu'il se désintégra en moins d'une seconde selon la relation :

6He → 6Li + β- + (ν + Ec) ou 6Li = 5602,9 MeV et z = 3

soit ma = 1,001285 10-26 Kg et ka = 0,5

Ra = 0,5 X 5602,9 / 4,1369. 10-21 = 6,432.1023 = 3 fo

Si l'énergie de l'hélium (6He ou z = 2) était trop importante par rapport à (z = 2), celle du Lithium (6Li ou z = 3), quasiment identique, est en équilibre dans son enveloppe comptant (z = 3) unités (q+) d'électricité.

Un neutron, pénétrant un noyau de Lithium (6Li) en perdant un surplus (md = 0,01296 10-27 Kg) créa un noyau de lithium (7Li ; z = 3) de masse

ma = °N + 6Li 0,01296 .10-27 = 1,16748. 10-26 Kg soit Ea = 6549,57 MeV

Le processus de fusion NEUTRON/NOYAU se poursuivit jusqu'au jour ou les particules primaires s'épuisant, il se créa de moins en moins de nouveaux NEUTRONS, puis aucun autre. A cet instant, le nuage chaud contenu dans l'univers était composé d'environ 90 % de noyaux d'hydrogène (1H et 2H), 9 % d'hélium (3He, 4He, 6He); les 1 % restants comprenaient des noyaux de lithium ( 6L, 7Li) et des traces de béryllium et de bore. En plus il comptait en abondance, des ÉLECTRONS, des NEUTRINOS, des grains Feynman et un reste de particules primaires instables. L'abondance des NOYAUX d'hydrogène résulte de fait que ceux-ci furent directement issus de la désintégration des NEUTRONSs. Alors que pour les autre il fallut l'opportunité de plusieurs rencontres avec des NEUTRONSS pénètrent de nouveau NOYAUX.

Règle fondamentale : un noyau atomique est stable lorsque son volume (Va)
1 - est entouré d'un nombre (z) d'unité (q+) d'électricité.
2 - contient une quantité de gaz Feynman correspondant au cumul de (N) neutrons et (z) protons diminué d'un défaut de masse (md) . Ce tout générant un cumul gravitationnel possédant une capacité énergétique (E = m.c2) liée à un mode de résonance (Ra) accordé sur une harmonique de la fréquence (fo. = 2,27790 Hz) du fluide du vide

ÉTAPE STELLAIRE

Création des étoiles

Il y a environ 13 milliards d'années, sur fond omniprésent de la matière du vide, le nuage chaud (environ 100 °C) décrit ci-dessus, progressivement se brisa en multiples nébuleuses s'étendant sur des distances énormes. Chacune de ces nébuleuses se divisa en fragments protogalactiques, tournant sur eux-mêmes et les uns autour des autres. Sans cette agitation, l'univers se serait effondré sur lui-même et ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui.

Au cours de leur évolution, ces masses gazeuses protogalactiques se peuplèrent de myriades de nuages protostellaires, tournant sur eux-mêmes. Sous l'effet de la force centrifuge ces nuages protostellaires, s'allongèrent prenant la forme d'un disque bulbeux enflé au centre.

Progressivement ce centre par accrétion de son environnement devint une boules énorme supportant, en son cœur une pression de plus en plus grande qui provoqua le réchauffement du gaz, jusqu'à atteindre le million de degrés.

Dans une telle ambiance la matière au cœur des protoétoiles était brutalement agitée en tous sens. Elle subissait des contraintes inhabituelles

Principe de FUSION : deux NOYAUX atomiques (A) et (B) qui ont une vitesse suffisante pour vaincre les forces de répulsions électrique se rapprochent l'un de l'autre.

Lorsque deux NOYAUX (A et B) se font face leurs unités (q+) se repoussent. Par la fenêtre neutre qui s'est ouverte ils mêlent leur grains Feynman interne. Les unités (q+ ) n'ayant plus qu'un seul support se juxtaposent. Il en résulte un nouveau NOYAU (C).

FUSION de deux PROTONS

Etant les plus nombreux les protons furent les premiers à fusionner entre eux :

1H + 1H = 2He ou z = 2

Il en résulta un volume instable de grains Feynman fortement comprimés par les (z = 2) unités (q+) d'électricité qui entouraient ledit volume.

Dans ce volume les grains Feynman en ébullition se mêlaient en amas parfois en un neutron qui se désagrégeait selon la formule (β+)

Désintégration β+) : dans un NOYAU dont la quantité de gaz Feynman est trop faible par rapport à ses (z) unités (q+), il se forme un NEUTRON (°N) qui s'y désintègre selon la relation

N° → P- + β+) + ν + Ec

Le positron (β+) léger, par répulsion s'ouvre facilement une fenêtre dans l'enveloppe électrique positive par laquelle il s'envole, alors que l'anti-proton (P-), lourd et négatif, attiré par cette enveloppe, s'y mêle en annihilant l'une des charges (q+)

En même temps que le positron (β+) , une partie (md = 0,0031191 10-27) des grains Feynman s'échappe du volume.

A cet instant nous sommes en présence d'un deutérium (2H) isotope stable de l'hydrogène dont le poids est

Ma = (1,6726 + 1,6749 0 ,003119) 10-27 = 3,34438.10-27 Kg

Un DEUTERIUM (2H), se lie avec un PROTON (1H)

Le noyau (3H) qui en résultait n'était pas stable et comme précédemment il s'y forma un NEUTRON qui se désintègra selon la formule (β-)

Désintégration β-) : dans un NOYAU dont la quantité de gaz Feynman est trop importante par rapport à ses (z) unités (q+), il se forme un NEUTRON (oN) qui s'y désintègre selon la relation

N° → P+ + β-) + ν + Ec

La quantité de grains Feynman (5,0078 10-27 Kg de l'hélium (3He) était identique à celle du tritium. Elle s'équilibra avec les deux unités (q+) d'électricité.

Par la suite, deux noyaux d'HÉLIUM (3He) fusionnèrent. Il en résulta un volume instable de grains Feynman. Celui-ci se désagrége selon la relation

3He + 3He = 4He + 1H + 1H + Ec

Les noyaux (1H) étaient expulsés avec une énergie cinétique importante (Ec = 13,8 MeV) capable de maintenir si ce n'est augmenter la température au c?ur des protoétoiles à quelque 106 degrés et permettre ainsi la multiplication des fusions et fissions

32He + 4He = 7Be + Ec ou Ec = 1,584MeV

7Be7Li + (β+) + Ec) ou Ec = 0,856 MeV

et la création de multiples autres noyaux comme le carbone (12C), l'oxygène (16O), le néon (20Ne), le magnésium (24Mg).

Au cœur des étoiles, des surchauffes locales créèrent des réactions productrices de NEUTRONS :

(9Be + 4He12C + 0N)

(27Al + 4He30P + 0N)

Les quels neutrons, en pénétrant sans effort des noyaux, créèrent des noyaux de plus en plus lourds.

C'est au cours de la vie des premières étoiles que furent fabriqués les éléments de plus en plus lourds peut-être jusqu'au fer.