Louis de Broglie

(1892 – 1987)

Sa grande découverte.

Louis de Broglie passe une licence de sciences en 1913. Puis initié aux travaux de la physique moderne par son frère, Maurice de Broglie, il envisage d’écrire une thèse sur un sujet que lui inspire la théorie de la lumière d’Einstein.

Louis de Broglie, dans sa biographie sous le titre
“RECHERCHE D’UN DEMI-SIECLE” raconte cet événement :

Le 25 novembre 1924, je soutiens ma thèse dont l’idée fondamentale était la suivante : « Le fait que, depuis l’introduction par Einstein des photons dans l’onde lumineuse, l’on savait que la lumière contient des particules qui sont des concentrations d’énergie incorporées dans l’onde, je suggère que toutes particules comme l’électron, doit être transportée par une onde dans laquelle elle est incorporée».

Mais cette idée, je la précise en disant que « la particule doit être le siège d’un mouvement périodique interne de longueur d’onde (λi) et doit se déplacer dans son onde externe (λx = h / mi. vx) de façon à rester en phase avec elle, ce qui détermine son mouvement dans l’onde ».

Mon idée essentielle était d’étendre à toutes les particules la coexistence des ondes et des corpuscules découverte par Einstein en 1905 dans le cas de la lumière et des photons. « à toute particule matérielle de masse (mi)) et de vitesse (vx) doit être "associée" une onde réelle » reliée à la quantité de mouvement par la relation :

λx = h / p = h / (mi.vx)
où (λx) est la longueur d’onde et (h) la constante de Planck

La découverte, en 1927, par Davisson et Germer du phénomène de la diffraction des électrons et son extension expérimentale grâce aux travaux de G. P. Thomson et de Maurice Ponte démontrèrent expérimentalement l’exactitude de mes idées

D’autres expériences confirmant cette théorie furent réalisées avec des neutrons, des protons et des noyaux atomiques. En 1999 des chercheurs de l'Université de Vienne, ont fait diffracter du >fullerène (molécule C60)

En 2011, selon la revue POUR LA SCIENCE n°409, des chercheurs des universités Paris-sud et bordeaux dont Philippe Bouyer généralisent la loi de Broglie  « Des interférences ont été observées avec des atomes et récemment, des molécules comportant  plusieurs centaines d’atomes »

Curieusement, malgré ces confirmations, personne ne se demande le pourquoi de ces oscillations alors que dans l’univers tout phénomène a sa raison d’être. Seul le Professeur Fritsof Capra de l’université de Berkeley précisait dès 1979 :

« Compte tenu que la science moderne s’avère incapable de rendre compte des phénomènes physiques relatifs à la structure de la matière, on doit se référer à la conception trop souvent ignorée selon laquelle la matière serait sous-tendue par une oscillation »

Il est évident, que dans l’univers, ne subsiste aujourd’hui ;
que les masses des particules et des noyaux atomiques stables parce qu’elles sont le siège d’une oscillation

Sa découverte suite : E = m.c²

Par ailleurs, comme toute particule de masse (mi), est entourée d’un champ gravitationnel ce ne peut être que ce champ qui oscille sur la longueur d’onde (λx), il s’en suit :

Toute particule de masse (mi) qui voyage à la vitesse (vx) est entourée d’un champ gravitationnelle qui oscille sur la longueur d’onde (λx = h / mi.vx), en phase avec le mouvement périodique interne de longueur d’onde (λi), ce qui implique selon les lois de l’optique

(λi = λx . c/ vx) et (vx = c / n) où (n) est un nombre entier

Il en résulte: i = h n² / mi.c)

Lorsque la particule est au repos, les deux ondes sont identiques

(vx = c) et (n= 1) :
i = h / mi. c) ou (λi = h c/ mi. c²)

En optique (λ = h c / ΔE) ce qui nous permet d’écrire (E = m . c²)

Dans le cas du photon (ΔE) est réellement de l’énergie. Mais dans le cas d’une particule de matière, la formule (E = m . c²) ne correspond à aucune énergie directement disponible.

En 1905, Einstein exprima pour la première fois cette formule (E = m. c²) sous une autre forme. Ce n’est que vers 1934 qu’il la présenta telle que nous la connaissons (E = m. c²) et expliqua qu'une particule de masse (m) possède, en puissance, au repos, une énergie totale (E)

C’est cette énergie (E) que nous appelons capacité énergétique sans relation directe avec une quelconque énergie.

Il faut se méfier des formules mathématiques, on peut leur faire dire tout et son contraire. Ici (Ei= mi. c²), ce n’est pas de l’énergie directement disponible mais une capacité énergétique qui correspond à une capacité à osciller sur la longueur d’onde i = c h / Ei)

Sa découverte achevée

Nous avons constaté :

Que toute masse possède une capacité énergétique (E = m .c²) qui, comme l’énergie ΔE des photons, correspond une capacité d’osciller sur la longueur d’onde (λ = h c / E) ou la fréquence (f = E / h).

Capacité signifie : être capable de faire quelque chose, comme une cloche qui a la capacité de sonner, mais reste muette tant qu’un sonneur ne tire pas sur la corde, en phase avec le balancement de la dite cloche.

Pour osciller une masse doit être excitée en phase.
Mais comment se trouve t’elle excitée ?

Il faut savoir que toute particule de matière est faite de neutrinos Feynman dont la masse (mg) oscille sur la fréquence de référence (fo).

Les (x) neutrinos Feynman qui composent une particule lui donne

sa masse (mi = x . mg)
d’où résulte sa fréquence d’oscillation (fi = mi . c² / h)

De l’intérieur d’une particule les neutrinos Feynman qui oscillent sur la fréquence (fo) excitent en phase son mode de résonance (fi = mi.c² / h) seulement si (fi = fo ou n.fo), Dans ce cas l’onde de référence (fo) comme dans une caisse de résonance développe des ondes stationnaires en forme d’alvéoles qui sous-tendent la structure de ladite particule ce qui la rend stable. C’est le cas des NEUTRONS, PROTONS et NOYAUX ATOMIQUES

Dans le cas contraire (fi différent de fo ou de n.fo) il n’y a pas accord de phase dont pas d’ondes stationnaires la particule est instable et se désagrège.

Conclusion : Parmi toutes les particules et noyaux atomiques qui se formèrent au hasard seuls furent stables ceux dont la masse était sous-tendue par une oscillation.

Prenons l’exemple d’un NEUTRON :

Le cumul gravitationnel des grains originels de matière qui constituent un NEUTRON possèdent une capacité énergétique (Eo = mo .c²) liée à une capacité de résonance

Ro = fo = Eo / h = 2,27196 1023 Hz)

Le NEUTRON est en quelque sorte une caisse de résonance ayant seulement la capacité d’osciller sur la fréquence (fo). Mais comme une cloche sans sonneur, cette capacité ne servirait à rien si elle n’est pas excitée. Heureusement, comme nous le constaterons les neutrinos Feynman dont sont faits les NEUTRONS oscillent tous sur cette même fréquence (fo = 2,27196 1023 Hz) et de l’intérieur excitent le mode de résonance de la masse du NEUTRON.

Dans les NEUTRONS, les champs gravitationnels des neutrinos Feynman oscillant tous sur la fréquence (fo) sont en phase avec le mode de résonance (Ro = fo) de leur cumul gravitationnel. Dès lors, dans le volume du NEUTRON il se crée des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent sa structure.

Si la caisse de résonance d’une particule quelconque n’est pas accordée sur la fréquence ou l’une des harmonique de (fo) de ses neutrinos Feynman, les deux oscillations n’étant pas en phase elles ne forment aucune ondes stationnaire, la particule n’est pas stable et se désagrège.

L’expérience de Young prouve que le NEUTRON selon La loi de Broglie est bien entourée d’une onde.

Grâce au développement de l’idée de Louis de Broglie on peut conclure :

Les protons et les noyaux atomiques dont la masse oscille en phase avec la fréquence (fo) des neutrinos Feynman, sont stables. Comme ils sont les seuls constituants de l’univers, ils en assurent la stabilité.

Lorsque nous aurons à nous référer à cette découverte, nous évoquerons :

La découverte achevée de Broglie