ATOMES leur origine
Lors de la création de l'univers, dans le nuage originel, les atomes les plus simples se formèrent à partir des neutrons. :
Désintégration des NEUTRONS
Formule de désintégration d'un NEUTRON
NEUTRON = PROTON + ÉLECTRON + NEUTRINO + EC
Selon la découverte achevée de Broglie : c'est l'oscillation des neutrinos Feynman qui sous-tend les NEUTRONS assez longtemps (moins de 15 minutes) pour qu'ils se désintègrent en protons, électrons et neutrinos, trois particules, également sous-tendues par l'oscillation des neutrinos Feynman. Sans cette oscillation l'univers serait resté un nuage de grains originels dépourvus d'avenir.
Le premier atome
Plaçons nous à l'origine de l'univers, nous sommes dans le
gaz originel. Au fur et à mesure de la formation des NEUTRONS et de leur désintégration
les PROTONS et les ELECTRONS devenaient de plus en plus nombreux dans la périphérie
de la Voie Lactée.
Un ELECTRON ne tarda pas à tourner autour d'un PROTON sans s'y mêler,
grace à sa zone d'impénétrabilité.
Ils formèrent ensemble un atome d'hydrogène.
Lorsqu'un ELECTRON tourne autour d'un PROTON devenu le NOYAU d'un atome d'hydrogène, sa sphère d'impénétrabilité, en circonvolution autour dudit NOYAU, s'aplatit.
La zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge structure un disque de valence dont le rayon (Rv) donne la mesure extérieure de l'atome.
La zone d'impénétrabilité de l'atome d'Hydrogène, c'est-à-dire son disque de valence de rayon (Rv = 1,2 Å), possède deux arcs : l'un (G), de forte résistance face à l'ELECTRON ; l'autre (V), de moindre résistance, diamétralement à l'opposé du premier. Ces arcs tournent en même temps que l'ELECTRON.
Alors que l'unité (q+) de charge électrique d'un PROTON isolé habillait toute la surface de son volume, lorsqu'un ELECTRON tourne autour, par attraction l'unité (q+) se rassemble en une ceinture dans le plan de l'orbite électronique et dans le volume du disque de valence.
L'atome d'Hydrogène dans son état fondamental
La zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge structure un disque de valence dont le rayon (Rv) donne la mesure extérieure de l'atome
Vue en coupe du disque de valence de L'ATOME D'HYDROGENE.
L'atome d'Hydrogène excité
Si, dans un ATOME excité, un ELECTRON tombe d'une orbite extérieure (A) sur une autre plus interne (B), l'énergie perdue ΔE s'envolent sous la forme d'un photon.
NOYAUX du deutérium (²H), ISOTOPES stable d'hydrogène premier noyau composé
Remarque : chaque éléments
chimique correspond à un type d'atome de référence et à ses isotopes qui en diffèrent
par leur nombre de NEUTRONS tout en
ayant le même nombre de PROTONS
et d'ELECTRONS, ce qui
leur confère les mêmes propriétés chimiques.
Les isotopes des trente premiers éléments sont stables si le rapport : NEUTRONS /
PROTONS est inférieur ou égal à l'unité.
Nous sommes toujours dans le nuage chaud (moins de 100 °C) fait de neutrinos Feynman où se mêlent d'une part des particules primaires instables, d'autre part, des PROTONS, des ELECTRONS et des NEUTRONS, tous trois très stables, puis quelques atomes d'hydrogène, et des NEUTRONS instables en attente de leur désintégration.
Un NEUTRON (0N), peu après sa formation, avant de se désintégrer, avait le temps de rencontrer un PROTON (1H). Aucune barrière électrique ne les séparant, ils se pénétrèrent et formèrent un NOYAU dont la capacité énergétique est :
E = 0N + 1H = 939,57 MeV + 938,28 MeV= = 1877,85 MeV
et mode de résonance rectifié R = E K/ h = 4,54,1023 = 2 fo
Selon la découverte achevée de Broglie :
Parce que le volume nucléaire est accordé sur l'harmonique (2. fo) de l'oscillation des neutrinos Feynman il se crée dans son volume des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent la structure du DEUTERIUM qui est stable puisque (N / P = 1)
Mais il y a un problème !
Nous avons fait pénétrer le NEUTRON dans le PROTON alors que pour les physiciens quantiques le PROTON et le NEUTRON resteraient entiers l'un contre l'autre, comme une planète autour d'une étoile. Mais il n'y a pas entre eux de cohésion électrique et celle gravitationnelle est insignifiante.
Peu importe, les mathématiciens quantiques prétendent qu’en se liant deux particules perdent une partie (md) de leur masse correspondant à un défaut d’énergie (Ed = m.c2) laquelle crée une force nucléaire liant les deux particules et rendant stable le neutron en dépit de sa nature instable :
Le défaut d’énergie est une réalité : Neutron + proton = 3,3475314.10-27
deutérium = 3,3445172.10-27 27 défaut de masse = df = 0,0030142.10-27
Première remarque : Comment un proton et un neutron liés peuvent conserver leur identité en pesant moins lourd qu’à l’état libre ? ?
Seconde remarque : Prétendre transformer un défaut de masse en énergie par la magie d’une formule (E = m.c²) ne constitue pas une solution car cette formule ne correspond à aucune énergie à l’état pur mais à une capacité éventuelle à fournir de l’énergie. De toute façon : En même temps qu’elle se crée une énergie se transforme en une action ponctuelle. A l’inverse une action qui se prolonge nécessite simultanément le renouvellement de l’énergie dont elle dépend.
Ici, l’énergie qui correspondrait à un défaut de masse d’un noyau atomique s’est réalisée ponctuellement au moment de la formation dudit noyau. Mais c’est tout au long de la vie du deutérium que les deux particules doivent rester liées. Si un quidam affirme que « les deux particules restent perpétuellement liées par une énergie ponctuelle », Ce quidam se mettrait dans la situation de quelqu'un qui, devant un trou, se demanderait : Quoi faire de l'énergie dépensée par le terrassier qui le creusa ?
Plus incroyable encore est la transformation du tritium (3H) en hélium (3He), selon les quantiques :
← Tritium (3H)
→ Hélium (3He)
Neutron = proton + électron + neutrino
Selon les physiciens quantiques, l’un des deux NEUTRONS du tritium (3H) qui devait rester stable retrouve son instabilité naturelle et se désintègre de sorte que l’hélium (3He) se retrouve avec deux PROTONS répulsifs entre eux et un NEUTRON instable. Mais on est en droit de se demander: comment un NEUTRON du tritium amputé d’une partie du défaut de masse se désintègre comme s’il était entier jusqu’à éjecter un neutrino avec l’électron en laissant le proton dans le noyau d’hélium.
De deux choses l’une : dans un noyau quantique les neutrons perdent leur instabilité et les protons leur répulsion mutuelle en s’amputant d’une fraction de leur masse. Mais ne peuvent changer d’état au grè des circonstances.
Devant cette incohérence quantique, plusieurs éminents scientifiques ont proposé une autre solution :
Marc Lefort de l’institut de physique nucléaire d’Orsay :
« Les noyaux ne sont pas des sacs de billes-nucléons mais semblent constitués d’une matière relativement visqueuse. »
Francis Natter, du centre d’étude nucléaire de Saclay, ajoute
« Il n’est pas impératif que les noyaux atomique soient faits de protons et neutrons, ils pourraient être formés à partir de particules élémentaires inobservables.»
R Schaeffer, du commissariat à l’énergie atomique, précisait :
« Il est possible que, dans les noyaux atomiques, les neutrons et les protons perdent leur identité pour ne plus être qu’un magna de sous-particules »
Hain Harari, de l’institut Weizmann en Israël :
« Dans un noyau, les nucléons ne seraient que des unités de référence pour mesurer les masses nucléaires constituées, en réalité, d’un gaz de sous-particules. Ces sous-particules devraient être petites à un point presque inimaginable. »
Ces suggestions confortent nos propres convictions selon lesquelles : dans un noyau atomique, les neutrinos Feynman des NEUTRONS et ceux des PROTONSsont mêlés en un même volume délimité par l’enveloppe constituée des (z) unités (q+) d’électricité des PROTONS. Cette structure permet, sans problème d’expliquer tant le défaut de masse par une simple perte de neutrinos Feynman que la stabilité des neutrons du fait de sa non présence réelle.
Nous pouvons reprendre notre récit relatif à la transformation d’un noyau de tritium (3H), isotope instable d'hydrogène en un hélium (3He)
Nous sommes toujours dans le gaz chaud originel fait de neutrinos Feynman. Un NEUTRON (°N), peu après sa formation, avant de se désintégrer, eut le temps de rencontrer un deutérium (2H). Aucune barrière électrique ne les séparant, ils se pénétrèrent ( °N + 2H) et mêlèrent leurs neutrinos Feynman en un noyau instable (12 ans de demi-vie) dont le cumule gravitationnel était égal à :
E = °N + 2H = (939,57 MeV + 1876,96 MeV = 2816,53 MeV
et le mode de résonance rectifié R = E. K / h = 12,41 1023 = 3 fo
Le nouveau noyau est accordé sur l'harmonique (3 fo) de l'oscillation des neutrinos Feynman. Dès lors, il se crée dans son volume des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent la structure du TRITIUM. Mais on constate que le rapport (N / P = 2) ce qui signifie que les neutrinos Feynman de deux neutrons et d'un proton créent une poussée que retient mal l'enveloppe d'une seule charge électrique (q+) ce qui fragilise le noyau dont la demi-vie n'est que de 12 ans.
NOYAU d'hélium 3He
La quantité de neutrinos Feynman contenue dans un tritium (3H) exerce une pression que ne peut équilibrer une seule unité (q+) d'électricité, de sorte qu'au cours de sa courte vie (environ douze ans), à un moment ou un autre, l'équilibre se rompant l'oscillation cessa.
Il se passe un phénomène incroyable:
Ci-dessous, à gauche du dessin, un tritium (3H) tout à coup, subit un choc qui brise ses alvéoles. Les neutrinos Feynman libérés s'agitent en tous sens. Certains neutrinos Feynman encore groupés, sous l'action de leur propre oscillation, se rassemblent en un NEUTRON.
NEUTRON = PROTON + ÉLECTRON (β-) + NEUTRINO + E
Les neutrinos Feynman formèrent des amas dont certains se groupèrent en un NEUTRON qui rapidement se désintégra.
Désintégration β- : dans un noyau dont l'énergie est trop importante par rapport au nombre (z) d'unités (q+) d'électricité, il se forme un NEUTRON (°N) qui s'y désintègre selon la formule habituelle
°N → P+ + β- + ν + Ec
Lors de la désintégration de ce NEUTRON dans le tritium, le PROTON qui en résultait par répulsion, ouvre dans la membrane positive une fenêtre par où s'envola l'ELECTRON (β-), alors que le PROTON mêla ses neutrinos Feynman à ceux du noyau et ajouta une unité (q+) à celle de l'enveloppe nucléaire.
Il en résulta que le noyau de tritium (3H où z = 1) se transforma en un noyau d'Hélium (3He ; z = 2) selon la figure ci-dessus et la relation ci-dessous. Cette transformation se fit sans apport de neutrinos Feynman puisque le NEUTRON s'était formé des propres grains du tritium.
3H → 3He + β-+ ν + Ec
La quantité de gaz Feynman gravitationnel (5,0078 10-27 Kg de l'hélium (3He) est identique à celle du tritium. Elle s'équilibre avec les deux unités (q+) d'électricité. Le mode de résonance (Ra) du cumul gravitationnel est accordé sur l'harmonique deux de la fréquence (fo) du fluide du vide.
La pression des deux unités (q+) sur le cumul gravitationnel modifia le mode de résonance du noyau d'hélium (3He) d'un facteur (Ka = 0,672)
0,672 X 2809,39 / 4,1369.10-21 = 4,5636.1023 = 2 fo
Voila le mystère : les neutrinos Feynman qui oscillent sur la fréquence (fo) ont tendance, dans un milieu agité, à se regrouper en un NEUTRON dont la capacité énergétique oscille sur ladite fréquence (fo). Ce NEUTRON retrouve du même coup la faculté de se désintégrer.
Ce phénomène laisse croire que les NEUTRONS et les PROTONS restent entiers dans un noyau atomique.
NOYAU de l'ATOME d'hélium 4He
Selon le même processus que précédemment en abandonnant un surplus de neutrinos Feynman égale à (md= 0,0043.10-27) Un neutron, en pénétrant un noyau d'hélium (3He), forma un noyau (4He) entouré d'un champ gravitationnel présentant des vecteurs de force (Fa = G . ma)
ma = °N + 3He – md =(5, 0078 + 1,674954 – 0,0043).10-27 = 6,677 10-27 Kg
Ea = 3728,37 MeV et ka = 1,00868 z / A = 0,504
Il en résulte pour le noyau d'hélium stable (4He) où (z = 2) possède un mode de résonance de son cumul gravitationnel égal à
Ra = 0,505 X 3728,35 / 4,1356.10-21 = 4,5527.1023 Hz = 2 fo
Pour simplifier nous supposons que le surplus de neutrinos Feynman se réalise au moment où le NEUTRON pénètre le PROTON.
NOYAU ISOTOPE 6He d'hélium
Un NEUTRON rencontrant un noyau d'hélium (4He) le pénètre. En abandonnant un surplus de neutrinos Feynman égal à (md = 0,03137 .10-27). Il se forma un volume de l'hélium (5He) constitué d'une quantité de neutrinos Feynman constituant un cumul gravitationnel générant à l'extérieur un champ gravitationnel présentant des vecteurs de force (Fa = G . ma)
ma = 4He + °N = (6,646 + 1,674954) 10-27 = 5He = 8,32.10-27 Kg
Ce nouveau NOYAU d'hélium (5He) radioactif avait une durée de vie inférieure à la seconde, ce qui pouvait suffire à ce qu'il rencontre un second NEUTRON qui le pénétre en abandonnant un surplus de gaz (md = 0,020.10-27). Il en résulta un noyau d'hélium (6He)
ma = °N + 5He = (8,32 + 1,674954 - 0,02).10-27 = 6He = 9,975.10-27 Kg
Ea = 5595 MeV et ka = 0 ,336
Ra = 0,336 X 5595/ 4,1356.10-21 = 4,5458.1023.= 2. fo
Noyau isotope du lithium 6Li
Le noyau d'hélium (6He où z = 2) est un isotope radioactif dont la quantité de gaz Feynman gravitationnel est trop importante par rapport aux deux unités (q+) de son enveloppe, de sorte qu'il se désintégra en moins d'une seconde selon la relation :
6He → 6Li + β- + (ν + Ec) ou 6Li = 5602,9 MeV et z = 3
soit ma = 1,001285 10-26 Kg et ka = 0,5
Ra = 0,5 X 5602,9 / 4,1369. 10-21 = 6,432.1023 = 3 fo
Si l'énergie de l'hélium (6He où z = 2) était trop importante par rapport à (z = 2), celle du Lithium (6Li où z = 3), quasiment identique, est en équilibre dans son enveloppe comptant (z = 3) unités (q+) d'électricité.
Un neutron, pénétrant un noyau de Lithium (6Li) en perdant un surplus
(md = 0,01296 10-27 Kg) créa un noyau de lithium (7Li ; z = 3) de masse
ma = °N + 6Li – 0,01296 .10-27 = 1,16748. 10-26 Kg
soit Ea = 6549,57 MeV
N’oubliez pas que nous sommes à l’origine de l’univers, dans le nuage originel où le processus de fusion NEUTRON/NOYAU se poursuivit jusqu'au jour où les Grains Feynman s'épuisant, il se créa de moins en moins de nouveaux NEUTRONS, puis aucun autre. A cet instant, le nuage chaud contenu dans l'univers était composé d'environ 90 % de noyaux d'hydrogène (1H et 2H), 9 % d'hélium (3He, 4He, 6He); les 1 % restants comprenaient des noyaux de lithium ( 6L, 7Li) et des traces de béryllium et de bore. En plus il comptait en abondance, des ELECTRONS, des NEUTRONS. L'importance des NOYAUX d'hydrogène résulte de fait que ceux-ci furent directement issus de la désintégration des neutrons. Alors que pour les autre il fallut l'opportunité de plusieurs rencontres avant que des NEUTRONS pénètrent de nouveau NOYAUX.
En réalité, bien avant que s'épuisent les neutrinos Feynman, dans le gaz originel les étoiles avaient pris le relais.
Création des étoiles
Il y a 13 milliards d'années, le nuage galactique chaud (environ 100 °C) contenu dans l'univers est composé d'environ 90 % de noyaux d'hydrogène (1H et 2H), 9 % d'hélium (3He, 4He, 6He); les 1 % restants comprend des noyaux de lithium ( 6L, 7Li) et des traces de béryllium et de bore. En plus il compte en abondance, des ELECTRONS, des NEUTRINOS.
L'importance des NOYAUX d'hydrogène résulte de fait que ceux-ci furent directement issus de la désintégration des neutrons. Alors que pour les autre il fallut l'opportunité de plusieurs rencontres avant que des NEUTRONS pénètrent de nouveau NOYAUX.
Progressivement ce nuage se brise en multiples nébuleuses s'étendant sur des distances énormes. Chacune de ces nébuleuses se divise en fragments protogalactiques, tournant sur eux-mêmes et les uns autour des autres. Sans cette agitation, l'univers se serait effondré sur lui-même et ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui.
Au cours de leur évolution, ces masses gazeuses protogalactiques se peuplent de myriades de nuages protostellaires, tournant sur eux-mêmes. Sous l'effet de la force centrifuge ces nuages protostellaires, s'allongent prenant la forme d'un disque bulbeux enflé au centre.
Progressivement ce centre par accrétion de son environnement devint une boule énorme supportant, en son cœur, une pression de plus en plus grande qui provoque le réchauffement du gaz.
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Tout au long de sa vie, une étoile est soumise à deux forces antagonistes :
- d’une part, la gravitation qui tend à la contracter sur elle-même ;
- d’autre part, l’extrême agitation thermique (chaleur) du cœur qui tend à dilater l’astre.
Les étoiles possèdent ainsi un système d’autorégulation simple :
- si la réaction nucléaire produit trop d’énergie, la pression thermique l’emporte sur la gravitation, le cœur augmente de volume, la pression baisse et le taux de réaction nucléaire se réduit.
- si, au contraire, la pression centrale est trop faible, la gravité contracte.
Dans les étoiles les noyaux atomiques fusionnent entre eux par nucléosynthèse, selon le processus ci-dessous :
- Deux NOYAUX atomiques (A) et (B) qui ont une vitesse suffisante pour vaincre les forces de répulsions électrique se rapprochent l’un de l’autre.
- Lorsque deux NOYAUX (A et B) se font face leurs unités (q+) se repoussent, et par la fenêtre neutre qui s’est ouverte ils mêlent leur gaz Feynman interne.
- Les unités (q+) n’ayant plus qu’un seul support se juxtaposent. Il en résulte un nouveau NOYAUX(C).
Deux Noyaux d'hydrogène (1H) fusionnent
Etant, de beaucoup, les plus nombreux, les noyaux d'hydrogène sont les premiers à fusionner entre eux :
1H + 1H = ²He où z = 2
Il en résulte un volume instable de neutrinos Feynman fortement comprimé par les (z = 2) unités (q+) d'électricité qui entourent ledit volume.
Dans ce volume les neutrinos Feynman en ébullition se mêlent en amas. Certains neutrinos Feynman, sous l'action de leur propre oscillation, se reconstituent en un neutron qui se désagrégea selon la formule (β+)
ANTIPROTON + positron (β+) + NEUTRINO + EC
Le POSITON (β+), par répulsion, s'ouvre facilement une fenêtre dans l'enveloppe électrique (2 q+).
A l'extérieur, le POSITON (β+) subit une accélération par effet de répulsion de l'enveloppe nucléaire et s'envole avec une énergie cinétique (Ec= 1,44 MeV).
L'antiproton (P-) attiré par l'enveloppe principale (2.q+) s'y mêle en neutralisant une charge (q+) de sorte que le tout devient un isotope d'hydrogène (2H) ou Un DEUTERIUM.
Désintégration β+ :
dans un NOYAU dont la quantité de gaz Feynman est trop faible par rapport à ses (z) unités
(q+), il se forme un NEUTRON (N°) qui s'y désintègre selon la relation
N° →
P- + β+ + ν + Ec
Voila le mystère : les neutrinos Feynman qui oscillent sur la fréquence (fo) ont tendance, dans un milieu agité, à se regrouper en un NEUTRON dont la capacité énergétique oscille sur ladite fréquence (fo). Ce NEUTRON retrouve du même coup la faculté de se désintégrer.
Ce phénomène laisse croire que les NEUTRONS et les PROTONS restent entiers dans un noyau atomique.
Un DEUTERIUM (2H), se lie avec un PROTON (1H)
Ci-dessous, à gauche du dessin, un tritium (3H) dont les neutrinos Feynman s'agitent en tous sens. Certains neutrinos Feynman, sous l'action de leur propre oscillation, se rassemblent en un NEUTRON qui, instantanément se désintègre.
PROTON + ÉLECTRON (β-) + NEUTRINO + EC
Au milieu du dessin, la charge électrique positive du PROTON qui en résulte, par répulsion ouvre, dans l'enveloppe positive, une brèche qui permet à l'ELECTRON (β-) de par son énergie cinétique de s'enfuire avec un neutino non représenté.
Dans le même instant l'enveloppe du PROTON se déchire. Alors que ses neutrinos Feynman se dispersent, un petit nombre d'entre eux liés à la charge positive du PROTON ouvrent plus grande le brèche et la comblent, voir comportement des charges électriques
Le tritium (3H) est devenu avec la même masse et la même oscillation un noyau d'hélium (3He) stable
Désintégration β- : dans un NOYAU dont la quantité de gaz Feynman est trop importante par rapport à ses (z) unités (q+), il se forme un NEUTRON (°N) qui s'y désintègre selon la relation
°N → P+ + β- + ν + Ec ou Ec = 5,49 MeV
Au bout d'un temps dépendant de la masse de l'étoile, la quantité d'hydrogène dans le cœur de l'étoile finit par ne plus être suffisante pour entretenir un taux de réaction suffisamment élevé qui puisse contrebalancer l'effet de la gravitation. Le cœur de l'étoile va alors se contracter. Lors de cette contraction, sa température va augmenter (comme n'importe quel gaz que l'on comprime) de même que sa densité. Quand la température atteint quelques 108 Kelvins, la fusion de l'hélium peut s'amorcer.
Deux noyaux d'HELIUM (3He) fusionnèrent. Il en résulta un volume instable de neutrinos Feynman. Celui-ci se désagrége selon la relation
3He + 3He = 4He + 1H + 1H + Ec
Chaque noyau (1H) ou proton est expulsé avec une énergie cinétique importante (Ec = 13,8 MeV) capable de maintenir si ce n'est augmenter la température au cœur des protoétoiles à quelque 108 degrés et permettre ainsi la multiplication des fusions et fissions
32He + 4He → 7Be → 7Li + β+ + Ec où Ec = 1,584MeV
7Be + 1H → 8Be + 7Li + β+ + Ec → 4He + 4He + Ec = 14 MeV
et la création de multiples autres noyaux comme le carbone (12C), l'oxygène (16O), le néon (20Ne), le magnésium (24Mg).
Au cœur des étoiles, des surchauffes locales créèrent des réactions productrices de neutrons :
(9Be + 4He → 12C + 0N) (27Al + 4He → 30P + 0N)
Les quels neutrons, en pénétrant sans effort des noyaux, créèrent des noyaux de plus en plus lourds.
Ces fusions de l'hydrogène sont celles qui dégagent le plus d'énergie (chaleur) de toutes les réactions qui vont se produire au cœur des étoiles. Comme les étoiles sont composées majoritairement d'hydrogène, elles disposent à ce moment de leur vie d'un combustible en grande quantité, qui leur fournit une grande quantité d'énergie. Cela explique pourquoi les étoiles passent la plus grande partie de leur existence dans cette phase de combustion de l'hydrogène.
Au cœur des étoiles, par interaction, les atomes se brisaient :
De fusions en ruptures, à l’intérieur des étoiles, se formèrent les noyaux les plus complexes
Un NOYAU atomique est réellement fait de (z) PROTONS et (n) NEUTRONS,
c'est-à-dire (A = z + n) NUCLÉONSs qui ont mêlé leurs neutrinos
Feynman dans un volume dont l’enveloppe est constituée des (z) unités
d’électricité (q+) des (z) protons.
Les nucléons (protons et neutrons) ne sont présents dans le noyau que par leur masse en
neutrinos Feynman dilués dans le volume nucléaire. Il n’est plus
question de la non stabilité des neutrons et de la répulsion des protons entre eux. Le noyau est
naturellement stable.
Si l’on constate un défaut de masse (md), c’est qu’au cours de ses diverses
transformations le noyau, tout simplement, a perdu un nombre correspondant de grains
Feynman.