NEUTRON

Vous connaîtrez l'origine des NEUTRONS en vous référant à la rubrique émergence de la matière.

1 - Généralités

Avant d'examiner le cas des NEUTRONS rappelez vous que dans un amas quelconque

1 - les grains Feynman de la surface étant orientés vers le centre créent à la périphérie une faible tension superficielle.

2 les grains Feynman de l'intérieur orientés tous azimuts génèrent un cumul gravitationnel désordonné possédant une capacité énergétique (E = mX.c2)), à laquelle est lié un mode de résonance (R = E/h = f) qui n'étant excité par aucune oscillation extérieur, reste muet comme une cloche sans sonneur, de sorte que l'amas est instable.

Qu'en est il des NEUTRONS :

Le cumul gravitationnel des grains Feynman qui constituent un NEUTRON possèdent une capacité énergétique (Eo = mo .c2) liée à un mode de résonance

Ro = fo = Eo / h = 2,27192 Hz)

D'autre part le cumul gravitationnel génère à l'extérieur du NEUTRON un CHAMP GRAVITATIONNEL peuplé de VECTEURS DE FORCE virtuels

Fo = G. mo → mo = Eo / c2 =1,675.10-27 Kg

Dire que le mode de résonance (Ro) des neutrons est excité par la fréquence (fo) du fluide du vide, c'est constater qu'une onde de fréquence (fo) se propage dans le cumul gravitationnel et rebondit sur la tension superficielle qui entoure le NEUTRON, de sorte qu'il se forme selon le dessin ci-dessus :

En périphérie, une onde stationnaire qui s'ajoute à la tension superficielle pour assurer au NEUTRON une certaine cohésion.

Quelle est la preuve de l'oscillation d'un NEUTRON ?

Selon l'expérience décrite dans ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALIS à la rubrique NEUTRON :

Si l'on applique la formule de Louis de Broglie : [λ = h / (m . v)] à un NEUTRON animé d'une vitesse de (2200 m/s) on constate que son champ gravitationnel externe oscille sur la longueur d'onde :

v = h / (mo / v) = 0,180 10-9 mètres].

Ce qui implique que le cumul gravitationnel interne oscille sur une longueur d'onde différente (λo), ce qui est toujours le cas lorsqu'un mobile qui oscille se déplace dans un champ oscillant fixe par rapport audit mobile.

En effet un NEUTRON qui voyage à la vitesse (v), alors que son champ gravitationnel se propage à la vitesse de la lumière (c), semble se déplacer à ladite vitesse (v) dans un champ immobile oscillant . Ici pour (v = 2200 m/s) on a :

Fv / fo.= v /c = =7,295 10-6 = λo / λv

Pour que les longueurs d'onde des oscillations interne (λo) et externe (λv) soient identiques, il suffit que le NEUTRON soit au repos, dans ce cas, il voit son champ gravitationnel s'éloigner à la vitesse de la lumière (c) et l'on a

o = h / (mo c )= 1,32 10-15] et (c/λo = fo = 2,27 1023)

Si dans la formule [λo = h / (mo c )] on introduit ([λ o = c/fo) on a (fo = mo . c2 / h) mais (Eo = mo . c2) on en déduit (fo = Eo / h) formule identique à celle des photons (f . h = ΔE)

Il en résulte que le cumul gravitationnel d'un NEUTRON possède une capacité énergétique (Eo = mo c2)) à produire du travail.

C'est bien la preuve que le cumul gravitationnel d'un NEUTRON possède. un mode de résonance (Ro = Eo / h = fo = 2,27 1023).

A la rubrique émergence de la matière nous avons constaté que les NEUTRONS avaient été les premières particules à osciller en phase sur la fréquence (fo) du fluide du vide nous en avons déduit que cette fréquence (fo) devait être aussi celle dudit fluide du vide.

2 - Désintégration

Les NEUTRONS, sous-tendus par ces oscillations stationnaires ont une stabilité précaire, de sorte qu'environ treize à quinze minutes après leur formation, chacun se désagrège selon un processus immuable, en un PROTON accaparant quasiment tous les grains Feynman du NEUTRON le reste se répartissant entre un ELECTRON, un neutrino et une énergie cinétique (Ec) répartie entre ces deux dernières particules :

Eo = Ei + Ee + (Eν + Ec) = 939,57 = 938,28 + 0,511 + (0,779)

La désintégration des NEUTRONS est le seul phénomène par lequel se créés et se créent :

1 - les PROTONS, les ÉLECTRONS et les NEUTRINOS
2 - Les unités (q+-) d'électricité.

Lors de la désintégration d'un neutron

1 - Parmi les grains Feynman  qui se trouvent à l'endroit d'un choc
2 - l'un d'entre eux se dédouble ()
3 - Le demi grain positif () reste associé aux grains de surface de ce qui sera le proton,
4 - alors que le demi grain négatif () s'envole avec les grains de l'électro. Chaque demi grain ( ou ) reste associé à des grains () complets sous-jacents.

Lors que des neutrons sont des projectiles

Les NEUTRONS thermiques

A - Cas d'un NOYAU de référence :

Un NEUTRON thermique qui rencontre un NOYAU atomique de rang (z) et de masse [ma= mu (A + da)] le pénètre et mêle ses grains Feynman à ceux du NOYAU en une masse [m=) dont la capacité énergétique (Ex), est liée à un mode de résonance (Rx) généralement différent de l'oscillation de l'énergie du vide (fo). Sous le choc, il se crée un carambolage entre les grains. Certains sont expulsés ; à un moment donné la nouvelle masse retrouve une capacité énergétique [Ea+1 = mu (A + 1 + dx)] liée à un mode de résonance accordé sur l'harmonique (z) de l'énergie du vide. En d'autres termes le nouveau NOYAU de rang (z) est un ISOTOPE du premier.

B - Cas d'un NOYAU radioactif avec fission spontanée

Un NEUTRON thermique, en se liant à un NOYAU d'URANIUM radioactif (235), le fait exploser en deux NOYAUX et deux NEUTRONS animés globalement d'une énergie cinétique d'environ (90 MeV).

0N + 235U → 91Kr + 143Ba + 2 . 0N + 90 MeV

On constate un rapport de réciprocité [R = z / (A - z)] relativement égal pour les deux noyaux fils.

R = z / (A - z) = 0,654 pour le KRYPTON (91) ISOTOPE radioactif lourd
= 0,644 pour le BARIUM (143) ISOTOPE radioactif lourd

Il faut remarquer que, dans ce cas, l'accord du mode de résonance des deux NOYAUX n'intervient pas et que la séparation se fait par rapport à un phénomène de réciprocité qui crée des ISOTOPES instables, lesquels ne retrouveront leur équilibre que lors de restructurations successives ultérieures, par radioactivité β-.

91Kr → 91Rb → 91Sr → 91Y → 91Zr (stable)

143Ba → 143La → 143Ce →143Pr → 143Nd (stable)

On retrouve les circonstances déjà décrites : Dans l'ambiance de l'énergie du vide omniprésente, lorsqu'un choc excite un NOYAU réputé instable, le mode de résonance de celui-ci se trouve momentanément désaccordé et les ondes stationnaires qui s'étaient formées dans son volume se brisent en libérant des grains Feynman qui se regroupent jusqu'à former 'un NEUTRON.

Les NEUTRONS rapides supérieurs à 50.000 m/s

Le NEUTRON, en pénétrant dans un NOYAU dont le mode de résonance est accordé sur une harmonique (z) de (fo), s'y trouve à l'aise, poursuit son chemin, traverse le NOYAU et ressort….

Les NEUTRONS thermiques mêlent leur énergie à celle des NOYAUX qu'ils pénètrent.
Alors que les NEUTRONS plus rapides traversent un volume nucléaire sans s'y mêler.


Caractéristiques des NEUTRONS :

Tous les grains Feynman qui constituent un NEUTRON ont une masse cumulée (mo) possédant une capacité énergétique (Eo = mo . c2) et un mode de résonance (Ro = fo = Eo ./ h = 2,27 . 1023 Hz)

Or les NEUTRONS comme les autres particules, baignent dans le champ gravitationnel (en jaune) de la masse noire centrale. Ce champ qui est aussi appelé énergie du vide oscille sur la fréquence (fo).

Il se crée dès lors, entre le mode de résonance du NEUTRON et l'oscillation de l'énergie du vide une auto oscillation qui génère dans le volume du NEUTRON des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent sa structure.

Cette structure en alvéoles est confirmée par les physiciens qui constatent que le volume des neutrons est morcelé.

Dire que le mode de résonance (Ro) des NEUTRONS est excité par la fréquence (fo) du l'énergie du vide, c'est constater que des ondes de fréquence (fo) se propagent dans le volume neutronique et que, par déphasage et réfraction, il s'y crée des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui maintiennent en place les grains Feynman dans le NEUTRON