L'univers

Formation de la matière

Nous n'avons pas à vous présenter le NEUTRON, c'est une particule qui avec sa désintégration est universellement connue. En réalité c'est plus qu'une particule, il est à l'origine de l'univers et de son évolution. Par ailleurs les résultats de ses actions apportent la preuve de la réalité des lois de la physique classique et des trois lois fondamentale ci-dessous

 Trois lois fondamentales

 

Si l’on veut respecter le concept :

« Rien ne se crée, rien ne se perd tout se transforme »

Il faut qu’à l’origine de toute chose ou tout phénomène il y ait eu des particules élémentaires qui contiennent en fait ou en puissance la matière et les phénomènes nécessaires à construire l’univers tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Avec leur Grand collisionneur de hadrons (LHC), Les physiciens à la recherche des particules élémentaires multiplière nt les expériences « deux protons stables lancé à grande vitesse l’un contre l’autre s’éclatent en un gerbe de débris instables » Curieusement ils ont remarqué sans s’y attarder qu’à travers les parois de leur gigantesque machine s’échappe un nombre considérable de neutrinos minuscules et stables qui ne sont autre que ce qui reste des protons après leur éclatement lorsque tout a disparu, c'est-à-dire des particules élémentaires stables de nature gravitationnelle.

Par ailleurs Feynman décrivit des grains minuscules électriquement neutres qui pourraient être des particules élémentaires ayant en puissance les deux unités d’électricité positive et négative. C'est-à-dire capables de se séparer en deux demis grains portant chacun une unité indivisible d’électrique (1,6.10-19 C), l’une positive l’autre négative.

Division théorique d'un grain de matière neutre

Si l’on mêle la nature gravitationnelle des neutrinos qui oscille sur la fréquence de résonance (fo) et la faculté des particules Feynman de se scinder en deux demi-grains d’électricité positive et négative, on obtient un modèle de particule élémentaire que l’on peut appeler neutrinos Feynman.

Représentation d'un neutrino Feynman

 

Neutrino Feynman entouré de son onde de référence sur la fréquence (fo)

1 - Loi Feynman

Les Neutrinos-Feynmansont de minuscules particules élémentaires dont la masse gravitationnelle électriquement neutres génère autour d’elles un champ gravitationnel oscillant sur la longueur d’onde de référence (λo) et possèdent en puissance les deux charges électriques positive et négative.

2 – Loi Louis de Broglie est à l’initiative de la deuxième loi, sans que personne n’en ait mesuré la portée. En effet, dès l’origine de l’univers cette loi est la raison de la stabilité de tout ce qui se créa.

Au niveau atomique toute masse gravitationnelle est une caisse de résonance mais seules les masses dont la caisse de résonance est accordées sur la fréquence de référence (fo) génèrent une oscillation qui sous-tend leur structure et engendre autour un champ gravitationnel oscillant sur ladite fréquence (fo) si la masse est inerte ou voyage à faible allure.

3 - La loi  Harari  :

Dans les années 1932, Heisenberg proposait le modèle de noyau atomique composé de (z) protons et (N) neutrons. Mais il y avait un problème : “comment peuvent se perpétuer des noyaux atomiques faits de protons répulsifs entre eux et de neutrons instables. Comble d’incohérence : la masse globale des noyaux est réellement inférieure au cumul des masses de ses constituants !”

Seul un groupe de physiciens : Marc Lefort, Francis Natter, R Schaeffer et d’autres dont Harari ont proposé une solution logique et simple

Là encore cette loi simple et logique est fondamentale car elle assure la stabilité des noyaux atomiques et par là celle de l’univers tout entier.

La loi  Harari  :

 

«Dans un noyau atomique les (z) unités (q+) d’électricité des (z) protons forment une enveloppe dans laquelle les nucléons (protons et neutrons) se sont dilués en un gaz de sous particules. Ces sous-particules devraient être petites à un point presque inimaginable »



Je vous propose, selon la physique classique, les réalités de l’évolution de l’univers et grace à Louis de Broglie le pourquoi de sa stabilité



Les premiers instants
De l'univers

Représentation d'un nuage de neutrinos Feynman.

Dans la périphérie de la Voie Lactée, les neutrinos Feynman  bousculés par l’agitation thermique, environ 100°, au hasard des chocs, formaient des grumeaux Ceux-ci, à leur tour, s’assemblaient, se déchiraient en fragments pour se recomposer entre eux. Dans ce perpétuel changement. D’unions en ruptures, il se formait des particules primaires instables faites de diverses quantités de neutrino- Feynman

Dans l’ambiance agitée de tous ces amas instables qui se formaient, se déchiraient, se reconstituaient, il s’en trouva certains (N) qui, constitués d’une quantité spécifique  de neutrinos-Feynman furent relativement stables; leur durée de vie moyenne était d’environ 15 minutes. Aujourd’hui, on les appelle neutrons.
Avant de se demander pourquoi les neutrons, furent plus stables que les particules primaires instables il y a lieu de savoir pourquoi ils se formèrent

 

Loi du hasard:

 

Lorsque des situations diverses se renouvellent au hasard un grand nombre de fois en une seconde, un phénomène qui était possible devient inévitable.

 

Du fait que les neutrons soient une réalité  incontestable, il était normal que, dans ce bouillon de particules en transformation perpétuelle toutes faites des mêmes neutrinos-Feynman il s’en trouva, un jour, certaines identiques aux caractéristiques des neutrons.

 

Qu’il y ait eu des Neutrons parmi toutes les particules cela ne les rendait pas plus stables que les autres !

 

La première raison de leur stabilité est la même que pour les particules primaires : comme dans une goutte d'eau, la gravitation des neutrinos-Feynman périphériques génère des forces attractives dirigées vers le centre, ce qui engendre une faible tension superficielle.

Par ailleurs, selon la loi de Broglie :

Au niveau atomique toute masse gravitationnelle est une caisse de rĂ©sonance mais seules les masses dont la caisse de rĂ©sonance est accordĂ©es sur la frĂ©quence de rĂ©fĂ©rence (fo) celle des NEUTRINOS FEYNMAN gĂ©nèrent une oscillation qui sous-tend leur structure et engendre autour un champ gravitationnel oscillant sur ladite frĂ©quence (fo) si la masse est inerte ou voyage à faible allure.

Un NEUTRON possède une masse dont la caisse de rĂ©sonance est accordĂ©e sur la frĂ©quence de rĂ©fĂ©rence (fo) des neutrinos-Feynman. De sorte que l′oscillation sur ladite frĂ©quence de rĂ©fĂ©rence (fo).crĂ©e des ondes stationnaires qui sous-tendent su structure.

 

Par ailleurs un neutron  est constitué de neutrinos-Feynman dont la  masse cumulée (mo = 1,6749 . 10-27 KG) posséde une capacité énergétique

Eo = mo . c² = 939,57 MeV   qui engendre

une capacité de résonance (Ro = fo  =  Eo ./ h  = 2,27 . 1023 Hz)

u

 

Cette structure en alvéoles est confirmée par les physiciens qui constatent que le volume des neutrons semble morcelé.

 

 

 

 

 

Toute fois, La tension superficielle et les ondes stationnaires de l’oscillation du cumul gravitationnel ne suffisent pas à assurer, aux neutrons, plus de 15 minutes de stabilité. Avant, ce délai, ils se désintègrent selon le schéma ci-après:

C’est heureux que les neutrons se désintègrent pour assurer l’émergence de la matière telle que nous la connaissons aujourd’hui.

 

 

 

 

 

Désintégration des NEUTRON

Formule de désintégration d’un neutron

NEUTRON = PROTON + ÉLECTRON + NEUTRINO + EC

Le secret des neutrons c’est d’être stable assez longtemps pour se former selon un processus immuable qui lui permet de se désintégrer selon un processus tout aussi immuable.

 

Ce phénomène de transformation d’un neutrons en trois particules dont deux électrisées est fondamental et donne aux neutrons, la deuxième place, après les dans l’ordre des particules indispensables à l’édification de l’univers tel que nous le connaissons

 

Il faut remarquer que la désintégration d’un neutron est le seul phénomène au cours duquel on assiste à la séparation d’un neutrinos-Feynman neutre e

 

Cette désintégration est un phénomène incroyable dont voici une hypothétique explication.

 

 

 

Un neutrinos-Feynman se sépare en deux demi grains d’électricité l’un positif l’autre négatif selon le schéma ci-dessus, c’est ce qui se passe ci-dessous.

 

 

¬Les neutrinos-Feynman

de la surface d’un neutron.

 

¬Un  neutrinos-Feynman

se dédouble

 

¬Des neutrinos-Feynman

neutres restent associés aux charges électriques.

 

¬La charge positive reste liée au proton

¬La charge négative reste liée à l’électron

 

 

 

A l’instant où se brise la surface d’un neutron, les neutres

( ˜ ) qui se trouvent là, sont expulsés sous la forme d’un neutrino. Alors que sous le choc l’un de leurs voisins, se dédouble en deux demi-grains: l'un positif
 ( ) habille le
proton, l'autre négatif  (») s'envole avec l’électron.

Les éléments de la dégradation d’un NEUTRON

La masse (Mo) du neutron se réparti entre ses constituants :

Neutron = proton + électron + neutino
Mo = z mp + me + mg 

Le secret des neutrons c’est d’être stable assez longtemps pour se former selon un processus immuable qui lui permet de se désintégrer selon un processus tout aussi immuable.

 

L’Electron

 

C’est la troisième particule qui par son originalité fut indispensable à l’édification de l’univers. En effet sans sa zone d’impénétrabilité les atomes n’auraient jamais pu se structurer.

 

 

Dans universalisà la rubrique liaisons chimiques et au paragraphe Force de Van der Waals : André Julg, Professeur à l'Université d'Aix précise :

La limite extérieure de l'atome est celle de la zone d'impénétrabilité de l'electron dont le rayon (Rv) est 000de (1,2 Å) pour l'Hydrogène, de
(1,5 Å) pour l'Azote, de (2 Å) pour le Brome, etc.

 

Le rôle des ÉLECTRONS ne se limitera pas à celui de satellite autour d’un noyau. Plus tard, du fait de leur légèreté des ÉLECTRONS, dans un câble, de proche en proche, se transmettront un mouvement qui fera croire qu’un courant électrique se propage dans un câble à la vitesse de la lumière.

D’autres phénomènes se manifesteront : des ÉLECTRONS immobiles sur un fil conducteur génèreront un champ électrique, s’ils sont animés d’un mouvement régulier, ils créeront un champ magnétique ; s’ils oscillent, il s’en suivra un champ électromagnétique qui s’envolera. C’est l’onde radio qui quitte l’antenne pour venir alimenter nos récepteurs.

C’est incroyable ce que les neutrons faits exclusivement de neutrinos Feynman nous ont apporté en se désagrégeant

Les protons

 

Alors que les neutrinos Feynman d’un NEUTRON sont tenus faiblement en place par une tension superficielle et les alvéoles des ondes stationnaires. Les neutrinos Feynman d’un PROTON supportent, en plus, la pression d'une unité
positive (q+) d’un demi-grain (Représentation du demi-grain.) qui s’est étalée à sa surface pour former l’enveloppe nucléaire dont la nature et la pression modifie d’un facteur (K) le mode de résonance dudit PROTON, par rapport à la fréquence de référence (fo).du NEUTRON.

 

 

               

 

  •  Il faut savoir qu’un PROTON est constitué d’une enveloppe flexible électrique (q+) qui entoure un certain nombre de Grains Feynman de masse globale (mp) inférieure à celle du neutron.Le tout constitue une caisse de résonance dont la fréquence de résonance (Rn) doit être modifiée par un facteur (K) en fonction de la pression de son enveloppe électrique pour être égale à celle du NEUTRON (fo) :
  • Rp = k mp  c² / h = n. k.Ep // h = fo = 2,27,10 23 Hz

Dès lors, il se crée dans le volume du PROTON des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent sa structure. Ceci confère au PROTON une durée de vie de 1030 ans soit 1020 fois l'âge de l'univers.

Formation des atomes

 

Le premier atome

Nous sommes toujours dans le gaz originel. Au fur et à mesure de la formation des neutrons et de leur désintégration les protons et les électrons devenaient de plus en plus nombreux dans la périphérie de la Voie Lactée.

 

Un électron ne tarda pas à tourner autour d'un proton sans s'y mêler, grace à sa zone d'impénétrabilité. Ils formèrent ensemble un atome d'hydrogène.

La charge positive du PROTON se neutralise par un seul ÉLECTRON périphérique. On constatera que les noyaux s’entourent d’un nombre d’électron (z) égal au nombre de ses PROTONS

 

Lorsqu'un électron tourne autour d'un proton devenu le noyau d'un atome d’hydrogène, sa sphère d'impénétrabilité, en circonvolution autour dudit noyau, s'aplatit.

La zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge structure un disque de valence dont le rayon (Rv) donne la mesure extérieure de l'atome.

La zone d'impénétrabilité de l'atome d'Hydrogène, c'est-à-dire son disque de valence de rayon (Rv = 1,2 Å), possède deux arcs : l'un (G), de forte résistance face à l'electron ; l'autre (V), de moindre résistance, diamétralement à l'opposé du premier. Ces arcs tournent en même temps que l'électron.

Alors que l'unité (q+) de charge électrique d'un proton isolé habillait toute la surface de son volume, lorsqu'un électron tourne autour, par attraction l'unité (q+) se rassemble en une ceinture dans le plan de l'orbite électronique et dans le volume du disque de valence.

.

 

L’atome d’Hydrogène dans son état fondamental

 

La zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge structure un disque de valence dont le rayon (Rv) donne la mesure extérieure de l'atome. Ce disque de valence présente un arcs (G) de grande résistance et un arc (V) de moindre résistance qui peut se lier à un autre atome.

Disque de valence
Électron sautant vers une autre orbite

L’atome d’Hydrogène excité

Si, dans un ATOME excité, un ELECTRON tombe d'une orbite extérieure (A) sur une autre plus interne (B), l’énergie perdue ΔE s'envolent sous la forme d'un photon.

Rappelez vous que le PROTON fait de neutrinos Feynman n′est autre que le noyau de l′atome d′hydrogène.

NOYAUX du deutérium (2H), ISOTOPES stable d'hydrogène premier noyau composé

Nous sommes toujours dans le gaz originel fait de neutrinos Feynman où se mêlent des PROTONS, des ELECTRONS, tous deux très stables, et  quelques atomes d'hydrogène également stables, et des NEUTRONS  instables en attente de leur désintégration.

Formation du deutérium

Un neutronN), peu après sa formation, avant de se désintégrer, avait le temps de rencontrer un proton (1H). Aucune barrière électrique ne les séparant, ils se pénètrent et mêlent leurs neutrinos Feynman en un seul NOYAU Il en résulte un deutérium (2H), ISOTOPES stable d'hydrogène entouré d’une enveloppe constituée d’une seule unité d’électricité (q+)dont  la capacité de résonance  est :

R =  E K/ h = 4,54,1023 = 2 fo

Le tritium (3H) radioactif devient hélium (3He):

La trame des ondes stationnaires d’un tritium (3H) radioactif, au moindre choque se dissout sans que la masse cesse d’osciller de sorte que certains  neutrinos Feynman  comme dans le gaz originel, tout naturellement, reconstituent un NEUTRON qui se désintègre,en un PROTON, un ÉLECTRON et un NEUTRINO.

Désintégration d'un atome de tritium

Ci-dessus, au milieu du deuxième dessin, la charge électrique positive du PROTON, par répulsion ouvre, dans l’enveloppe positive, une brèche qui permet à l’ELECTRON (β-) de par son  énergie cinétique de s’enfuir avec un neutrino non représenté.

Dans le même instant l’enveloppe du PROTON se déchire. Alors que ses Neutrinos Feynman se dispersent, certains liés à la charge positive du PROTON ouvrent plus grande la brèche et la comblent, selon le processus  ci-dessous :

Ouverture de la brèche de l'enveloppe du proton

Plus haut sur le troisième dessin, à droite le tritium (3H) est devenu avec la même masse et la même oscillation un noyau d’HÉLIUM (3He) stable dont la seule différence réside dans l’enveloppe qui possède deux charges électriques (z = 2) qui se juxtaposent de sorte que l’hélium (3He) comme le tritium (3H)) a une capacité de résonance R =  E K/ h = 3 fo.

Le noyau d’hélium (3He) est composé  des neutrinos Feynman de 2 PROTONS et un NEUTRON le tout enveloppé de 2  unité (q+) d’électricité celle des 2 PROTONS. Il en résulte un rapport entre nombre de charge et nombre de masses égal à 2 / 3 = 0,66) leur masse est donc stable.

Deux Ă©lectrons en orbite autour d'un noyau en opposition de phase.

Les deux unités (q+) d’électricité de son  enveloppe en s’entourant de 2 électrons se neutralisent. Ainsi se constitue un atome neutre d’hélium (3He)

Les deux ÉLÉCTRONS (1 et 2) en opposition de phase sur la même orbite saturent celle-ci et le disque, qui la prolonge, présente deux arcs (G) de grande résistance et aucun arc (V) de moindre résistance. Ce disque qui ne peut se lier à aucun autre est dit de structure. L'Hélium est un ATOME inerte.

l’hélium (6He) radioactif devient lithium (6Li)

Un NEUTRON, en pénétrant un noyau d'HÉLIUM (3He), forma un NOYAU d'HÉLIUM (4He). Celui-ci au hasard se liant successivement avec deux NEUTRON devint un NOYAU d'HÉLIUM (6He) radioactif dont l'énergie est trop grande par rapport  aux deux unités (q+) de son enveloppe, de sorte qu'il se désintégra, en moins d'une seconde.

Transformation de l'HĂ©lium

6He → 6Li + β- + (ν + Ec)     ou    6Li = 5.602,97 MeV + 3;5 MeV

Si la masse  du l'HÉLIUM (6He) était trop importante par rapport à (z = 2), celle du LITHIUM (6Li), quasiment identique, est en équilibre dans son enveloppe comptant (z = 3) unités d'électricité.

3 protons gravitants autour d'un noyau d'un atome de Lithium

Comme dans le cas de l'hélium, les deux premiers ÉLECTRONS occupent et saturent l'orbite (K) mais ne compensent pas les trois unités (q+) d'électricité de la ceinture nucléaire. Lorsqu'un troisième ÉLECTRON se présente, attiré par la charge résiduelle (q+) il ne peut percevoir celle-ci que sur l'un des plans passant par les axes (xx') ou (yy'). Imaginons que le troisième ÉLECTRON se présente sur le plan passant par l'axe (yy') et se cale sur cet axe, de telle sorte qu'il décrive une orbite (L1).et que sa zone d'impénétrabilité roule sur l'orbite (K).En faisant abstraction de la première orbite de structure (K) saturée par les ÉLECTRONS (1 et 2), l'ATOME de lithium avec son troisième ÉLECTRON dont l'orbite (L1) se prolonge par un disque de valence, possède une structure qui rappelle celle de l'hydrogène.

On vient de constater que l′union des PROTONS et des NEUTRON faits de neutrinos Feynman est à l′origine de tous les noyaux atomiques qui de la sorte sont conformes a la loi Harari.

«Dans un noyau atomique les (z) unités (q+) d’électricité des (z) protons forment une enveloppe dans laquelle les nucléons (PROTONS et NEUTRONS) se sont dilués en un gaz de sous particules, c'est-à-dire de neutrinos Feynman »

On constate aussi que les NEUTRONS, comme à l’origine de l’univers, se créent et se désintègrent à l’intérieur du gaz de neutrinos Feynman d′un noyau. Ce phénomène de radioactivité ajoute ou retire une charge positive à la surface d′un noyau ce qui change son rang dans la liste des atomes.



Certains phénomènes ont une fin.

Tous phénomène qui à partir d’un état précédent en  crée un nouveau ne peut pas se perpétuer à l’infini. Il en fut ainsi de processus de fusion neutron / noyau qui se poursuivit jusqu'au jour où les neutrinos Feynmanisolés s'épuisant, il y eut de moins en moins de nouveaux NEUTRONS, puis aucun autre. A cet instant, le gaz originel était composé d'environ 70 % de noyaux d’hydrogène (1H, 2H) et 25 % d’hélium (3He, 4He, 5He); les 5 % restants comprenaient des noyaux de lithium et de béryllium, ainsi que des traces de bore. Par ailleurs, il y avait en abondance, des ÉLECTRONS, des NEUTRINOS et des  neutrinos Feynman épars.

L’importance des NOYAU d’hydrogène dans le gaz originel, résulte du fait que ceux-ci furent  directement issus de la désintégration des neutrons. Alors que pour les autres il fallut l’opportunité de plusieurs rencontres pour que des NEUTRONS pénètrent de nouveau NOYAU.

Nous sommes proche de l’époque où le gaz de neutrinos Feynman de la Voie Lactée sera remplacé par un gaz fait des premiers atomes.

L’évolution va t’elle s’arrêter ?

Non car la nature a plus d’une solution dans son sac. La formation des noyaux atomiques complexes se poursuivra au cœur des étoiles.

En réalité peu avant que s’épuisent les grains Feynman, il y a environ 13 milliards d'années, des fluctuations successives, avaient déchiré le gaz de la Voie Lactée fait des premiers atomes en de multiples nuages protogalactiques qui tournèrent les uns autour des autres. A l'intérieur de ceux-ci, il se forma des grumeaux qui s'enflèrent en absorbant, par accrétion, le gaz environnant jusqu'à constituer des protoétoiles qui tournèrent sur elles-mêmes et autour des centres galactiques. Au cœur des protoétoiles, la température augmenta à mesure qu'elles grossissaient.

Dans les étoiles les noyaux atomiques fusionnent entre eux par nucléosynthèse, selon le processus ci-dessous:

Les premières protoétoiles étaient faites du gaz environnant composé d'environ
70 % d’hydrogène et 25 % d’hélium, les 5 % restants comprenaient du lithium et du béryllium, Elles s'allumèrent lorsque la pression gravitationnelle généra en leur cœur une température de l'ordre de 106 degrés. Celle-ci permit aux noyaux d'hydrogène de fusionner deux par deux

1H + 1H = ²He        où   z = 2

Il en résulta un volume contenant les neutrinos Feynman de 2 protons fortement comprimés par l’enveloppe qui compte (z = 2) unités (q+) d'électricité, ce qui est le cas d’un noyau radioactif, qui se désagrégea selon le mode particulier ci-dessous :

Désintégration β+ : dans un noyau dont le nombre de neutrinos Feynman est trop faible par rapport au nombre  unités (q+) d’électricité,il se forme un neutron qui sous l’action de la forte i se désintègre selon la relation N° → P- + β+ + ν + Ec  

Sur le premier dessin de gauche ci-dessous, les neutrinos Feynman non stabilisés des deux noyaux d’hydrogène 1H reforment un NEUTRON qui se désintègre

Sur le dessin du milieu le POSITRON (β+), positif et très énergétique, par répulsion s'ouvre facilement, dans l'enveloppe électrique positive, une fenêtre par laquelle il s'envole. Alors que l’ANTI-PROTON (P-), lourd, lent et négatif, attiré par cette enveloppe, s'y mêle en annihilant l'une des charges (q+)

Sur le dernier dessin de gauche l’ANTI-PROTON (P-) négatif vient de se mêler comme ci-dessous à l’une des deux charges positive et la neutralisa de sorte que sur l’enveloppe il ne reste plus qu’une seule charge positive.

L'orsque les 2 charges se rejoignent, elles se neutralisent.

D’une façon générale la fusion de deux noyaux est source d’énergie

1H . + 1H = ²H  + (β+) + 1,44 MeV

Cette énergie est nécessaire pour entretenir la chaleur au cœur des étoiles.

Dans les étoiles d’une façon générale les noyaux atomiques fusionnent entre eux par nucléosynthèse, selon le processus ci-dessous:

Schéma théorique de nucléosynthèse entre deux noyau quelquonques.

1- Deux NOYAU atomiques quelconques (A) et (B) qui ont une vitesse suffisante pour vaincre les forces de  répulsions électrique se rapprochent l’un de l’autre.

2- Lorsque les deux NOYAU (A et B) sont proches une fenêtre s’ouvre dans chaque enveloppe électrique et les deux noyaux se pénètrent

Selon le même principe, il se forma des noyaux atomiques de plus en plus lourds comme 12C, 16O, 20N, 24Mg,  ect, mais leur structure resta la même.

Tous les atomes et leur cortège d’électrons sur le même modèle