Retour à la réalité
Le trou-noir de l’univers avant son origine s’était perpétué dans l’immobilité lorsqu’à l’instant d’une singularité où tous ses neutrinos-Feynman retrouvèrent leur faculté de mouvement tant pour le rayonnement de leur champ gravitationnel oscillant que pour se déplacer et par là même recréer les impressions du temps qui passe et de la chaleur environ 100 degrés.
Comme un coup de pied dans une fourmilière qui n’en bouscule que la partie apparente. La singularité ne libéra que les neutrinos-Feynman de la périphérie les autres restèrent dans le trou-noir. Ceux libérés se dispersèrent : les uns isolés sous forme de poussières invisibles, les autres groupés en amas également invisibles, certains en trous-noirs secondaires plus ou moins gros. Ces derniers sont les seuls représentés, sur le dessin ci-dessous par des points noirs. Dès lors les forces gravitationnelles des neutrinos-Feynman rétablirent l’équilibre entre ceux qui étaient restés dans le trou-noir et ceux de la périphérie.