La Voie Lactée
L’origine de
la matière :
Le dessin ci-dessous illustre la théorie, aujourd’hui admise, selon laquelle les trous-noirs- secondaires restèrent dans l’environnement du trou-noir originel où par accrétion ils assemblèrent autour d’eux les poussières de neutrinos Feynman pour 4% de leur propre masse. Ce qui assurait l’équilibre gravitationnelle de la masse du trou-noir secondaire et la masse cumulée de l’ensemble des neutrinos-Feynman de la périphérie.
Dans la périphérie de la Voie Lactée, les neutrinos Feynman bousculés par l’agitation thermique, environ 100°, au hasard des chocs, formaient des grumeaux Ceux-ci, à leur tour, s’assemblaient, se déchiraient en fragments pour se recomposer entre eux. Dans ce perpétuel changement. D’unions en ruptures, il se formait des particules primaires instables faites de diverses quantités de neutrino- Feynman
Les particules primaires :
neutrinos-Feynmanâ
Dans les particules primaires, comme dans une goutte d'eau, la gravitation des neutrinos-Feynman périphériques générait des forces attractives dirigées vers le centre, ce qui engendrait une faible tension superficielle qui enveloppait le reste des . neutrinos-Feynman
Tension superficielle ↑
Les neutrons :
Dans l’ambiance agitée de toutes ces particules primaires aléatoires et instables qui se formaient, se déchiraient, se reconstituaient, il s’en trouva certaines qui, remplies d’une quantité spécifique (N) de grains Feynman furent relativement stables; leur durée de vie moyenne était d’environ 15 minutes. Aujourd’hui, on les appelle NEUTRONS.
Avant de se demander pourquoi les NEUTRONS, furent plus stables que les particules primaires toutes instables il y a lieu de savoir pourquoi ils se formèrent
Loi du hasard:
Lorsque des situations diverses se renouvellent au hasard un grand nombre de fois en une seconde, un phénomène qui était possible devient inévitable
Du fait que les NEUTRONS soient une réalité incontestable, il était normal que, dans ce bouillon de particule en transformation perpétuelle toutes faites des mêmes grains Feynman il s’en trouva, un jour, certaines identiques aux NEUTRONS.
Qu’il y ait eu des Neutrons parmi toutes les particules cela ne les rendait pas plus stables que les autres !
La première raison de leur stabilité est la même que pour les particules primaires : comme dans une goutte d'eau, la gravitation des grains Feynman périphériques génère des forces attractives dirigées vers le centre, ce qui engendrait une faible tension superficielle.
Tous les grains Feynman qui constituent un NEUTRON ont une masse cumulée (mo = 1,6749 . 10-27 KG) possédant une capacité énergétique
Eo = mo . c2 = 939,57 MeV qui engendre
une capacité de résonance (Ro = fo = Eo ./ h = 2,27 . 1023 Hz)
Selon la loi de Broglie le neutron est stable parce que
Dans les neutrons, le champ gravitationnel cumulé des neutrinos-Feynman constitue une caisse de résonance accordé sur la même fréquence (fo) que leur propre mode vibratoire. L’oscillation permanente qui en résulte crée d’une part, dans le volume du neutron, des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent sa structure., d’autre part, autour du neutrons un champ gravitationnel oscillant sur la dite fréquence (fo).
Cette structure en alvéoles est confirmée par les physiciens qui constatent que le volume des NEUTRONS semble morcelé.
Toute fois, La tension superficielle et les ondes stationnaires de l’oscillation du cumul gravitationnel ne suffisent pas à assurer, aux neutrons, plus de 15 minutes de stabilité. Avant, ce délai, ils se désintègrent selon le schéma ci-après:
C’est heureux que les neutrons se désintègrent pour assurer l’émergence de la matière telle que nous la connaissons aujourd’hui.
Désintégration des NEUTRON
Formule de désintégration d’un neutron
NEUTRON = PROTON + ÉLECTRON + NEUTRINO + EC
Ce phénomène de transformation d’un neutrons en trois particules dont deux électrisées est fondamental et donne aux neutrons, la deuxième place, après les neutrinos Feynman dans l’ordre des particules indispensables à l’édification de l’univers tel que nous le connaissons
Il faut remarquer que la désintégration d’un neutron est le seul phénomène au cours duquel on assiste à la séparation d’un neutrinos-Feynman neutre e
Cette désintégration est un phénomène incroyable dont voici une hypothétique explication.
Ci-après détail de la désintégration d’un NEUTRON qui inclut la séparation des deux demi-grains Feynman selon schéma ci-dessus.
A l’instant où se brise la surface d’un NEUTRON, les grains Feynman neutres () qui se trouvent là , sont expulsés sous la forme d’un NEUTRINO. Alors que sous le choc l’un de leurs voisins, se dédouble en deux demi-grains: l'un positif () habille le PROTON, l'autre négatif () s'envole avec l’ELECTRON.
L’électron
C’est la troisième particule qui par son originalité fut indispensable à l’édification de l’univers. En effet sans sa zone d’impénétrabilité les atomes n’auraient jamais pu se structurer.
Dans UNIVERSALIS à la rubrique liaisons chimiques et au paragraphe Force de Van der Waals : André Julg, Professeur à l'Université d'Aix précise :
La limite extérieure de l'atome est celle de la zone d'impénétrabilité de l'ELECTRON dont le rayon (Rv) est de (1,2 Å) pour l'Hydrogène, de (1,5 Å) pour l'Azote, de (2 Å) pour le Brome, etc.
Les protons:
Alors que les Grains Feynman d’un NEUTRON sont tenus faiblement en place par une tension superficielle et les alvéoles des ondes stationnaires.
Les Grains Feynman d’un PROTON supportent, en plus, la pression d'une unité positive (q+) d’un demi-grain () qui s’est étalée à sa surface pour former l’enveloppe nucléaire dont la nature et la pression modifie d’un facteur (K) le mode de résonance dudit PROTON.
Il faut savoir qu’un PROTON est constitué d’une enveloppe flexible électrique (q+) qui entoure un certain nombre de Grains Feynman de masse globale (mp). Le tout constitue une caisse de résonance dont la fréquence de résonance (Rn) doit être modifiée par un facteur (K) en fonction de la pression de l’enveloppe électrique. On a dès lors :Rp = k mp c2/ h = n. k.Ep / h = fo = 2,27,1023 Hz
Selon la loi de Broglie :
Seules sont stables les masses dont la capacité de résonance accordée sur la fréquence (fo) est excitée par l’oscillation sur la même fréquence (fo) des neutrinos-Feynman. L’oscillent qui en résulte sous-tend la structure de la masse et génère autour d’elles un champ gravitationnel oscillant sur la dite fréquence (fo).
Il y a accord de phase entre le mode de résonance (Rx) du proton et l’oscillation (fo) des neutrinos-Feynman. Dès lors, il se crée dans le volume du proton des ondes stationnaires en forme d'alvéoles qui sous-tendent sa structure. Ceci confère au proton une durée de vie de 1030 ans soit 1020 fois l'âge de l'univers.
En réalité le proton n’est autre que le noyau d’Hydrogène et en cette qualité l’image de tous les noyaux faits d’une enveloppe électrique enfermant un gaz de neutrinos-Feynman
Selon la loi Harari,
 « Dans un noyau, les nucléons (protons et neutrons) ne seraient que des unités de référence pour mesurer les masses nucléaires constituées, en réalité, d’un gaz de. neutrinos-Feynman. Ceux-ci devraient être petits à un point presque inimaginable »