Club physique classique
lutte contre les théories irréelles.

 

Je suis né le 20 06 1920, j’ai eu la chance de vivre la dernière moitié du XX^éme siècle au cours de laquelle, lors de mes lectures, j'ai consigné sur des fiches les faits remarquables de l'actualité scientifique et les commentaires qui s'en suivaient. Mais de par ma formation confrontée aux évidences matérielles, j'ai toujours ignoré les conceptes autres que les lois simples expérimentalement contrôlées de la physique classiques.

 

Dès 1979, j’ai relu mes notes et en ai extrait les articles relatifs à de nouveaux concepts fondamentaux que j’ai consigné dans un premier livre en 1984.

 

En 2006, je me suis équipé d’un ordinateur avec internet ce qui changea ma façon de travailler, j’avais tout à portée d’écran sur Google et Wikipédia. Ce qui m’a permit de compléter rapidement l’histoire et les connaissances de la physique classique et d’apprendre ce qu’est la physique quantique.

 

En 2012 la physique quantique fut introduite dans les programmes des classes terminales des lycées. La même année le collisionneur LHC détecta des traces du Boson de Higgs, mais peu après au dire même des spécialistes, le boson de higgs se révéla instable donc inadapté à transmettre une masse rigoureusement calibrée. C’est alors que les revues scientifiques révélèrent l’état critique de la physique quantique :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les révélations des revues scientifiques

SCIENCE&VIE août 2013, la journaliste Mathilde FONTEZ donne de nombreux exemples selon lesquels:

« La physique quantique est un édifice qui ne repose sur aucun principe fondamental et ne parle pas du tout de la réalité matérielle de notre monde. De sorte que de plus en plus de physiciens quantiques sont en train de se convaincre que leur théorie n’a aucune utilité ».

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SCIENCE&VIE septembre 2013, le journaliste, Mathieu Grousson dans un article intitulé « Après le boson de Higgs une nouvelle physique va naître » rapporte des rumeurs et en précise les sources :

(En ce qui concerne) la matière, l’espace et le temps : loin de tout régler, la découverte du boson de Higgs a laissé la physique quantique face à ses nombreuses incohérences. Au point que les physiciens quantiques sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à penser que des idées radicalement différentes sont nécessaires pour sortir de l’impasse.

 

De symposiums en discussions de couloir, de conférence internationales en séminaires confidentiels, c’est désormais une certitude : il souffle sur le petit monde de la physique quantique comme un drôle de vent nouveau. L’impression désagréable que, malgré des décennies d’efforts pour tenter d’assembler les pièces qui composent le grand puzzle de la nature, les physiciens quantiques vont devoir remiser sur l’étagère de l’histoire toutes les théories et tous les modèles auxquels ils se sont accrochés pour décrire la matière, l’espace et le temps…

 

Mathieu Grousson donne ensuite ses sources, je ne citerai que la première, celle du physicien Gian Giudice, théoricien à l’organisation européenne pour la recherche nucléaire (cern) qui résume ainsi son opinion :

 

“La nature a peut-être choisi de suivre un plan différent de tous ceux que nous avions imaginés”

 

A la suite de cet article la revue cite 9 idées révolutionnaires pour réinventer le monde sans citer la physique classique.

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En octobre 2013 pour la science (Edition française de scientific american) pose la question : «  Les particules et les champs quantiques représentent-ils le monde réel ? »

 

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En juin 2014 “Pour la SCIENCE” Edition française de “Scientific American” révèle

La supersymétrie, une théorie en crise ?

En 2012 le collisionneur LHC détecta des traces du Boson de higgs qui devait conférer aux particules leur masse et devenir ainsi l’élément final de la physique quantique mais de l’aveu des techniciens le boson de higgs se révéla instable. « Qu’importe, dirent les chercheurs, nous le stabiliserons avec un phénomène appelé supersymétrie.

 

L'idée de supersymétrie a été formulée pour la première fois à la fin des années 1970 par le physicien français Pierre Fayet, mais malgré des décennies de recherche, aucune preuve expérimentale de la supersymétrie n’est apparue à ce jour. Pourtant la supersymétrie serait une solution élégante pour résoudre les tracas qui tourmentent les physiciens quantiques quant à savoir pourquoi certaines particules ont une masse stable rigoureusement calibrée. En d’autres terme : pourquoi l’univers est tel qu’il est ? De nombreux chercheurs espèrent grâce au collisionneur LHC découvrir des indices de la réalité de cette théorie qui pour l’instant n’est qu’une hypothèse.

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Il y a un problème « pourquoi les revues scientifiques ignorent elles la physique classique comme si elle n’était pas à la hauteur ?

En 2013, à l’époque des premières manifestations des revues scientifiques j’avais reconstitué l’historique de la physique classique et réalisé une brève description de la physique quantique.

Grâce à ce travail j’avais la preuve que les physiciens quantiques nous avaient impressionné avec leur énorme machine à briser les protons mais qu’en réalité leur théorie est inachevée. Et qu’en revanche les classiques, au cours de quatre siècles, avaient élaboré des lois expérimentalement contrôlées qui décrivent absolument tous les phénomène de la nature jusqu’à l’origine et l’évolution de l’univers

Le résultat de mon travail tombait à pic puisqu’il était conforme au rapport que les revues scientifiques faisaient sur l’état où se trouve la physique Quantique.

Il faut savoir que les 20 dernières années du 20^éme siècle et les 12 premières de ce siècle ont été, pour les physiciens classiques, fertiles en progrès, par exemple :

1.     La théorie de Louis de Broglie « Toute particule est entourée d’un onde » cachait le fait que cette onde, en réalité, stabilise les seules particules qui structurent la matière et de ce fait stabilise l’univers tout entier.

2.     Plusieurs savants classiques, vers les années 1980, décrit pourquoi sont stables les noyaux atomiques faits de protons répulsifs entre eux et de neutrons qui se désagrègent en moins de 15 minutes.

3.     Pour les physiciens classiques, le neutron n’est plus une particule quelconque, il est à l’origine de l’univers et de son évolution. Il est le moteur des réactions atomiques.

4.     Richard Feynman décrivit ce que pourraient être les particules élémentaires neutres si elles étaient faite des deux brins (positif et négatif) d’électricité. On peut en déduire la nature et le comportement de l’électricité.

5.     Tous les physiciens ont pu constater que se soit l’action des rayons cosmique dans la haute atmosphère, celle des réacteurs nucléaires, ou celle des collisionneurs, chaque fois qu’il y a collisions extrêmement puissantes entre deux particules, il se crée des débris instables qui en disparaissant laissent des neutrinos. Lorsque tout a disparu s’il reste des neutrinos c’est qu’ils sont réellement les particules élémentaires de la matière.

 

 

Livre illustré couleur 46 pages 25 € à commander directement :
Editions gr.Univers 35 rue jean de la Varende 79230 Bois guillaume
Téléphone : 02.35.59.95.42

 

Dans ce livre vous apprendrez, si vous ne le savez pas déjà, que la physique quantique est enseignée dans les universités et les classes de terminales des lycées comme une science universelle alors qu’elle fut imaginée de toutes pièces en 1930 par un universitaire qui créa la première équation quantique à partir d’une fausse description de l’atome. Ses collègues lui emboitèrent le pas.

 

A partir de 1960, les physiciens quantiques trouvèrent dans les collisionneurs des débris instables (vie de moins de 10^-10seconde) qui avaient la même masse que les particules qu’ils avaient inventées, ils crurent que s’état la preuve de leur réalité. Malheureusement ces particules instables se trouvent uniquement dans les débris des collisionneurs jamais dans les phénomènes où elles devraient se révéler. C’est là toute la différence avec les particules classiques qui furent découvertes directement en s’échappant des noyaux atomiques.

 

Il faudrait que les professeurs conscients de l’irréalité de la physique quantique se concertent et de leur propre initiative remplace leurs mensonges quantiques par la physique classique.

 

Si les professeurs eux-mêmes n’en prennent pas l’initiative comment les physiciens classiques peuvent-ils reprendre leur rang dans l’éducation nationale et y enseigner leurs lois simples expérimentalement contrôlées qui aujourd’hui décrivent absolument tous les phénomènes de la nature ainsi que l’origine de l’univers et son évolution ?

 

Pour ce faire il faudrait que, les défenseurs de la physique classique se groupent et constituent une force de contestation.

Jusqu’en 1900 les savants que l’on appelle aujourd’hui classique se contrôlaient entre eux pour ne retenir que des lois expérimentalement contrôlées. Par la suite les universités fédérèrent en leur sein la recherche, la conservation des acquis et l’enseignement de différents domaines de la connaissance, dont des disciplines nouvelles, comme la philologie, les mathématiques et la physique.

A partir de 1930, des universitaires inventèrent la physique quantique qui malgré qu’elle soit faite d’hypothèses jamais confirmées, progressa jusqu’à devenir ce quelle est aujourd’hui : une science inachevée qui ignore les progrès de la physique classique.

Aujourd’hui les universitaires qui occupent tous les postes de l’éducation nationale et de la recherche ne peuvent pas à la fois sauver leur théorie quantique en péril et accepter les progrès de la physique classique.

Dès lors notre Club, par le nombre de ses adhérant, doit remplacer près des revues scientifiques les représentants de la physique classique qui font défaut.