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La physique classique

L’ORIGINE de L’ATOME

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Du même auteur :

Dictionnaire de physique du XXI siècle, 200 pages.

Chronologie des inventions de la préhistoire au XX siècle inclus : 530 pages.

L‟ORGINE de L‟ATOME. L‟ORIGINE de L‟UNIVERS L„ORIGINE DE LA VIE.

L‟ORIGINE du BLUFF QUANTIQUE. L‟ORIGINE du MONDE MODERNE

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Préface :

Je suis Michel Colin né le 20 06 1920, j‟ai terminé mes études d‟ingénieur à l‟ECE de Paris.

J‟ai eu la chance de vivre la dernière moitié du XXéme siècle au cours de laquelle, dans les livres et les revues je suivis l‟actualité scientifique et autres sujets comme la biologie et l‟histoire des civilisations. Lors de mes lectures j‟ai pris des notes que j‟ai retrouvées à ma retraite en 1980, ce qui m‟a permis d‟écrire deux livres édités aux éditions Charles Corlet :

« L‟HOMME créa DIEU » en 1999 et « LA CREATION DU MONDE » en 20013.

En 2006, je me suis équipé d‟un ordinateur avec internet ce qui changea ma façon de travailler, j‟avais tout à portée d‟écran sur Google. Ce qui m‟a permis de compléter rapidement l‟histoire et les connaissances de la physique classique et d‟apprendre ce qu‟est la physique quantique.

De ci de là, le plus souvent dans les livre J‟ai découvert, chez des savants confirmés, cinq concepts, simplement évoqués, qui semblaient anodins mais en réalité étaient fondamentaux. Par exemple tout un chacun constate que l‟univers est stable et se dit s‟il est ainsi c‟est que ses composants sont stables. Les physiciens, en effet, constatent que toutes les particules à l‟origine de la matière sont stables et que par ailleurs d‟autres ne durent qu‟une fraction de seconde. Pourquoi cette différence ? La réponse était dans le premier des cinq concepts ci-dessous
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Premier concept : en 1924, Louis de Broglie dans sa thèse décrit l‟idée que

toutes les particules sont entourées d‟une onde. Il en resta là.
Mais j‟ai découvert le texte du professeur Fritjof Capra de l‟université de Berkeley selon lequel, en 1979, il révèle que « les structures des particules et des noyaux atomiques qui composent l‟univers sont sous-tendus par une oscillation »

C‟était la solution qui manquait aux physiciens classiques plus encore

puisque l‟onde externe c‟est révélée une protection entre particules chargées d‟électricité inverse.

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Deuxième concept : en 1964, à la première page de son traité d‟Electromagnétisme Richard Feynman décrit, en quels mots, l‟électricité en précisant « deux charges opposées ne se neutralisent pas mais se superposent » cela semble banal mais explique pourquoi les éléments de la désintégration des neutrons ont des charges électriques inverses. Ce que les

physiciens classiques ignoraient.

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Troisième concept : Dans l‟encyclopédie Universalis de 1985, à la rubrique

« liaison chimiques » et au paragraphe « Force de Van der Waals » André Julg, professeur à l‟université d‟Aix, précise : « La limite extérieure de l‟atome est celle de la zone d‟impénétrabilité de l‟électron » Cela semble banal, mais explique pourquoi dans un atome, l‟électron ne tombe pas sur le noyau et est à l‟origine de la force de Van der Waals. Ce que les physiciens classiques

ignorai ent.

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Quatrième exemple, Que ce soit depuis 1960 dans les rayons cosmiques de la haute atmosphère ou, plus récemment, dans les collisionneurs, chaque fois qu‟il y a choc extrêmement puissante entre deux particules, il se crée des débris instables qui en disparaissant laissent des NEUTRINOS STABLES.

« Si, lorsque tout a disparu il reste, des neutrinos stables, autour d‟un collisionneur, c‟est que ceux-ci sont réellement les particules élémentaires qui structurent la matière »

C‟est une évidence qui n‟est pas admise par tous les physiciens. xxxxxxx

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Cinquième concept : de nombreux physiciens dont : Marc Lefort de l’institut de physique nucléaire d’Orsay, dans son livre de 1983 « La recherche en physique Nucléaire ». Francis Natter, du centre d’étude nucléaire de Saclay. R Schaeffer du commissariat à l’énergie atomique. Haim Harari, de l’institut Weizmann en Israël. (Page 92 du n°68 de la revue : Pour la Science) : ont tous pensé que :

« Dans un noyau, les nucléons (protons et neutrons) ne seraient que des unités de référence pour mesurer les masses nucléaires constituées, en réalité, d‟un gaz constitué des sous particules de ces nucléons. »

Ce qui fut confirmé par SCIENCE&VIE dans son numéro de février 2013 :

« deux scientifiques : Elias Khan et Jean-Paul Ebran de l‟institut nucléaire d‟Orsay ont constaté que :

« Le noyau atomique n‟est pas un amas de neutrons et protons collés les uns

aux autres, mais des volumes de liquide, de bulles, d‟un nuage . . . »

C‟est donc une réalité : les noyaux atomiques sont faits des particules élémentaires de leurs constituant et leur donnent la possibilité d‟accueillir un neutron. Ce qui n‟est pas accepté de tous les physiciens classiques.

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Ces cinq concepts fondamentaux, que j‟ai eu la chance de découvrir et de compléter, je les ai introduits dans ce livre, sans que ce soit officiel, comme un complément à la physique classique. Ce qui m‟a permis de décrire l‟histoire de l‟atome durant la période de 1935 à 2012.

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Avant 1800 :

Prémices et oubli de l‟atome :

Les atomes, depuis toujours sont ce qu‟ils sont, mais l‟homme cherche encore aujourd‟hui à en connaître la véritable structure. C‟est cette longue histoire inachevée que je vais vous conter.
Ce livre n‟est pas un traité de physique mais la suite chronologique des recherches qui contribuèrent à la connaissance de la structure des atomes.
Les Grecs. Vers 600 ans AJC imaginèrent diverses essences à toute chose de l‟univers. Il semble qu'à la même époque, il existait en Inde une philosophie (système Vaiseshika) qui enseignait déjà que la matière était formée de particules indestructibles.
Il ne faut pas oublier qu‟il y eut plusieurs autres centres culturels dans le monde, dont les connaissances, parfois, précédèrent celles des européens, mais nous ne les citerons pas.

En Grèce, vers les années 600 av JC :

Thalès, né à Milet vers -625 AJC, choisit l'eau comme élément fondamental.

Anaximène né vers 585 av. J.C. envisagea l'air comme essence de toute chose.

Héraclite naît à Éphèse vers 544-541 av. J.-C. voyait dans le feu l'élément premier à l'origine de toute matière.

Empédocle, vers 460 avant notre ère, en ajoutant la terre aux éléments précédents admit que les quatre éléments réunis (le feu, l'eau, la terre et l'air) composaient l'univers.

Chaque substance présente dans l‟univers serait constituée d‟un ou plusieurs de ces éléments, en plus ou moins grande quantité. Ce qui expliquerait la qualité élémentaire de chaque matière : plus ou moins, chaud, froid, humide ou sec, plus ou moins volatil. La théorie repose sur des arguments philosophiques liés aux

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divinités : Zeus, dieu de la lumière céleste, désigne le Feu ; Héra, son épouse, l'Air ; Hadès, dieu des enfers, la Terre ; et Poséidon l'Eau.

Démocrite né vers 460 av. J.-C. à Abdère et mort en 370 av. J.-C., était un philosophe grec considéré comme un matérialiste. Pour contrer la théorie des quatre éléments (le feu, l'eau, la terre et l'air) il proposa un univers composé d‟atomes (en grec « a-tomos », qui ne peut être coupé), c'est-à-dire de particules microscopiques insécables et éternelles, qui, dans le vide, composeraient la matière comme des briques forment un mur.

Dans les années qui suivent, vers 450 av. J.-C., son disciple, Democritus, continua à développer l'hypothèse atomique en utilisant le terme atomos,

Aristote (384 av. J.-C. - 322 av. J.-C.), fut avec Platon, dont il était le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde ait connus. Il suffit qu‟il abandonne l'idée de l‟atome pour qu‟on n‟en parle plus, au profit de la théorie des quatre éléments d'Empédocle. (L'eau - La terre -L'air -Le feu) qui se perpétua, durant plus d‟un millénaire.

Les grecs utilisaient différents éléments chimiques : Graphite, diamant, l‟or, l‟argent, le cuivre (carbonate et les alliages, plomb, mercure (sulfure), fer, arsenic, antimoine, bismuth, hydrogène, oxygène, l'acide sulfurique (vitriol) etc.

Au Moyen-Age du Ve siècle au XVe siècle

Pour les « alchimistes » chaque métal était une combinaison des quatre éléments. (L'eau - La terre -L'air -Le feu).

Mais l‟alchimie était tout autre, elle était une « discipline » qui recouvre un ensemble de pratiques et de spéculations en rapport avec la transmutation des métaux. L'un des objectifs de l'alchimie était « le grand œuvre », c'est-à-dire la réalisation de la pierre philosophale permettant la transmutation des métaux, notamment des métaux « vils », comme le plomb, en métaux nobles comme l'argent ou l'or. Un autre objectif classique de l'alchimie était la recherche de la panacée (médecine universelle) et la prolongation de la vie via un élixir de longue vie. La pratique de l'alchimie et les théories de la matière sur lesquelles elle se fonde, sont parfois accompagnées, notamment à partir de la Renaissance (XVe siècle) de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles.

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Vague retour de l‟atome

Geber (né en 721 (?), mort en 815) est un alchimiste musulman d'origine perse. Il est considéré comme le père de la chimie pour avoir été le premier à pratiquer l'alchimie de manière scientifique. Ces livres traitent scientifiquement des procédés chimiques fondamentaux, tels que la cristallisation, la distillation, la calcination, la sublimation et l'évaporation. En particulier, Geber devine que des quantités des différentes substances mises en œuvre restent constantes au cours des réactions chimiques, devançant la loi des proportions définies par Joseph Louis Proust en 1794.

Jean Rey (1583-1645) chimiste et médecin français il obtint le titre de docteur en médecine à l‟université de Montpellier en 1609, et se retira au Bugue, où il exerça son art de médecin, tout en poursuivant ses recherches de physique et de chimie dans les forges de son frère. C‟est dans ces forges qu‟il fit ses expériences sur la calcination des métaux qu‟il publia en 1630, dans un ouvrage intitulé : « Essays sur la recherche de la cause pour laquelle l’estain et le plomb augmentent de poids quand on les calcine.

Dans ce livre, plus de cent quarante ans avant Antoine Lavoisier, Jean Rey avait reconnu que, dans le phénomène de la calcination du plomb ou de l‟étain, une partie de l‟air s‟unit au métal pour donner une chaux, ou oxyde métallique, avec augmentation de la masse initiale. Mais ses travaux sont tombés dans l‟oubli.

Il inventa le thermoscope, ancêtre du thermomètre.

Pierre Gassendi, (1592-1655), qui avait alors écrit un livre sur la vie d'Épicure, rénove, en 1638, la théorie atomique en précisant que la taille et la forme des corpuscules (atomes) qui se déplacent dans le vide doit rendre compte des propriétés de la matière. La chaleur est due à des corpuscules petits et ronds ; le froid, à des corpuscules pyramidaux avec des coins pointus, ce qui prend en compte la sensation de picotement lors de grand froid ; tandis que les solides tiennent ensemble par des crochets entrelacés.

René Descartes, (1596 - 1650) reprit les anciennes théories atomiques grecques des corpuscules ultimes de la matière et les imagine se liant entre eux par des crochets,

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Robert Boyle (1627 - 1691), en 1654, rencontre Robert Hooke, célèbre physicien qui l'aide à fabriquer une pompe à air dont il a besoin. Il constate le rôle de l'absorption de l'air dans la combustion, et l'augmentation de poids des chaux métalliques dans la calcination ; il a en outre rassemblé une foule d'observations qui ont contribué plus tard à établir des théories solides.

Ses expériences l‟amènent à écrire un traité dans lequel la matière se compose de particules et les changements chimiques résultent du réarrangement de ces particules. Boyle affirme que les éléments de base de la matière sont composés de particules de diverses sortes et tailles, appelées « corpuscules », qui sont capables de s'arranger en groupe



A considérer la matière comme composée de particules primaires, il rejette la conception antique selon laquelle la matière est formée à partir de quatre éléments : (la terre, l'air, l'eau et le feu). Boyle devient donc un précurseur à la théorie des atomes sur des bases expérimentales. Il a laissé son nom à une célèbre liqueur fumante de son invention (sulfure hydrogéné d'ammoniaque)
Isaac Newton (1643 – 1727) connaissant les diverses théories d'attachement d'atome alors à la mode, il croit plutôt, comme indiqué, en 1704, dans son livre

« Optiques » que les particules s'attirent les unes les autres par une certaine force, qui les met en contact.

Nicolas Lémery, (1645-1715), enseigna pendant plus de vingt-cinq ans la chimie et la pharmacie à de nombreux étudiants qui venaient de tous les pays de l'Europe. Son Cours de chymie publié en 1675 est d'une clarté et d'une précision remarquable pour l'époque. Il était destiné avant tout à l'enseignement et à la vulgarisation. Des générations de chimistes en profitèrent et s'en inspirèrent jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.

Si Nicolas Lémery ne fit pas de découvertes remarquables, il fut l'un des premiers à démythifier la chimie et à la débarrasser des oripeaux de l'alchimie. Il fut l'un des premiers à aborder la chimie sur le plan mécanistique.

En 1680 sa théorie sur les acides et les bases introduit une vision corpusculaire de la réaction chimique. Les acides sont des pointes qui se fixent dans les pores des bases, entraînant la neutralisation des deux espèces par formation d'un sel. En développant cette théorie il aborde de façon implicite la notion d'affinité entre deux corps.

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Ferdinand II de Médicis en 1654 créa le premier véritable thermomètre en emprisonnant de l'alcool dans un tube de verre hermétique. En 1717, le savant allemand Daniel Gabriel Fahrenheit remplaça l'alcool par du mercure et donna au thermomètre sa forme définitive.

Étienne-François Geoffroy, (1672-1731), chimiste et médecin français, développe la théorie des affinités chimiques selon laquelle une force chimique assemble les « corpuscules de Boyle » entre eux. Il est surtout connu pour ses tables des rapports, qu'il présenta à l'Académie des Sciences en 1718 et 1720. Ce sont des listes d'affinités chimiques : en haut d‟une colonne se trouve une substance avec laquelle toutes les autres en dessous peuvent se combiner.

Joseph Black (1728 – 1799) est passé à la postérité pour avoir découvert « l‟air fixe » le dioxyde de carbone, et démontré que la combustion est un processus qui implique la combinaison d'une substance avec de « l'air déphlogistiqué » (dioxygène). A travers cette découverte, c'est toute la conception de la chimie qui est bouleversée.

Vers 1750, Joseph Black imagina une balance de précision qui s‟imposa dans la
plupart des laboratoires de chimie.
Il constate que « l‟air fixe » le dioxyde de carbone est le gaz qui est produit aussi bien par la respiration animale que par la fermentation. En 1755, il reconnut le magnésium comme un élément.
En 1761 Black mit en évidence que le chauffage de la glace fondante n‟élève guère sa température, mais modifie simplement les proportions de glace et d'eau. De même, Black observa que le chauffage de l‟eau bouillante n'augmente plus la température de l‟eau, mais accélère seulement sa transformation en vapeur.
Henry Cavendish, (1731-1810), physicien et chimiste britannique. En 1766, il présente devant la Société Royale de Londres, un premier mémoire intitulé On Factitious Airs Il y établit l'existence de gaz autres que l'air, et montre que l'hydrogène « air inflammable » qu'il a isolé le premier, pèse dix fois moins que l'air atmosphérique « air commun ». Il y montre encore que le gaz carbonique

« air lié ») pèse moitié plus et qu‟il est présent dans l'atmosphère en quantité appréciable.

En 1783, il fait une analyse de l'air plus précise que celle de Lavoisier et l'année suivante, il reconnaît que l'eau est le produit de la combinaison de l‟hydrogène

« air inflammable » et de l'oxygène « l‟air déphlogistiqué ».

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En 1785, il combine l'azote « l‟air phologistiqué » et l'oxygène « l‟air déphlogistiqué » en faisant passer à travers un mélange de ces gaz des étincelles électriques.
L'abbé René Just Haüy, (1743-1822), crée avec Jean-Baptiste Romé de L'Isle, la cristallographie géométrique.
En 1774, Haüy montra que la forme des cristaux résultait de l'empilement de petits volumes de matière qu'il nommait molécules intégrantes, et dont son élève, Gabriel Delafosse déduira la notion de maille en 1840. Grâce à ces travaux, Haüy parvient à définir l‟espèce minérale.

Joseph Priestley (1732 - 1804) en 1774 découvre de « l'air déphlogistiqué » (dioxygène) qu'il a isolé dans son état gazeux, et nomma ce nouveau gaz, « l'air déphlogistiqué », mais c'est le chimiste français Antoine Lavoisier, qui identifia et donna à l'oxygène son nom.

Joseph Louis Proust, (1754 - 1826) en 1794 publia la loi selon laquelle lorsque deux ou plusieurs corps simples s'unissent pour former un composé défini, leur combinaison s'effectue toujours selon un même rapport pondéral. Il est l'un des précurseurs de la théorie atomique.
Il améliore aussi la lampe à huile en plaçant le réservoir de façon que l'huile soit poussée par son propre poids

Antoine Laurent Lavoisier, (1743 - 1794) en 1765, Lavoisier entreprit de refaire systématiquement, balance en main, les expériences de ces devanciers

En 1772, ses expériences permirent de démontrer que la combustion est un processus qui implique la combinaison d'une substance avec de l‟oxygène.
En 1773, il consacre l‟année à reproduire les expériences de Joseph Black et finit par découvrir que le gain de poids des métaux calcinés résulte de l'absorption par ceux-ci de l‟oxygène découvert quelques années plus tôt par Black.
En 1774 expérimentalement il démontre que la combustion est un processus qui implique la combinaison d'une substance avec l'oxygène, en réalité c‟est en 1779 qu'il nomme cette partie de l'air « oxygène », du grec « formeur d'acide », et l'autre partie « azote », du grec « sans vie ».
En 1780, il démontre également le rôle de l‟oxygène dans la respiration végétale et animale, ainsi que son rôle dans la formation de la rouille, autre forme d'oxydation lente.

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Il prouve que, bien que la matière change d'état dans une réaction chimique, la quantité de matière reste identique du début jusqu'à la fin de la réaction
En 1783, Lavoisier obtient de l'eau grâce à la combustion d'hydrogène en présence d'oxygène et il appelle ses composants « oxygène » et « hydrogène ».
1785, il réalise dans une même expérience l'analyse puis la synthèse de l'eau En passant de la vapeur d'eau sur le fer incandescent, Lavoisier et J.-B. Meusnier (1755-1783) observent que l'eau se décompose en hydrogène et en oxygène. Ils recueillent ces deux gaz dans deux gazomètres différents conçus par Mégré. Puis dans un ballon de verre, les deux gaz sont réunis et enflammés à l'aide d'une étincelle électrique. Il constate que de l'eau est reformée.
Il en déduit que par divers moyens on décompose les produits jusqu‟à obtenir
des substances simples reconnaissables (hydrogène, oxygène, carbone, fer, etc.)
En 1787 avec le chimiste Claude Louis Berthollet et d'autres, Lavoisier conçoit une nomenclature des noms des éléments chimiques qui sert de base au système moderne on y trouve des noms tels que l'acide sulfurique, les sulfates et les sulfites.
En 1789, il écrit un “Traité élémentaire de chimie”, considéré comme le premier manuel chimique moderne, il y présente une vue unifiée des nouvelles théories de chimie, fournit un rapport clair de la loi de la conservation de la masse. Son ouvrage contient une liste d'éléments ou substances qui ne peuvent être décomposées davantage (atomes), incluant l'oxygène, l'azote, l'hydrogène, le phosphore, le mercure, le zinc et le soufre.
Lavoisier dans son livre, parle de la matière en ces termes : « rien ne se crée, ni dans les opérations de l'art, ni dans celles de la nature, et l'on peut poser en principe que, dans toute opération, il y a une égale quantité de matière avant et après l'opération ; que la qualité et la quantité des principes est la même, et

qu'il n'y a que des changements, des modifications »

Certains contemporains de Lavoisier étaient toujours convaincus de la théorie, selon laquelle la matière est composée de quatre éléments fondamentaux, la terre, l'air, l'eau et le feu, dont les variations de dosage détermineraient la nature des corps

Dès 1774, Lavoisier s'attaque à cette théorie en démontrant devant ses collègues de l'Académie que le dépôt formé par l'évaporation n'est pas une mutation de l'eau en terre mais le résidu de matières déjà présentes dans le récipient. Il sera le premier à infirmer l'antique théorie mais ce n'est qu'en 1780 qu'il établit expérimentalement avec Pierre-Simon Laplace dans un célèbre mémoire que la

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chaleur n'est pas un fluide mais le résultat de l'agitation de ce que les savants appellent déjà des molécules. Il démontre aussi qu'un corps qui se liquéfie n'est pas un corps qui se transforme en un autre comme le postule la théorie de quatre éléments mais que le même élément chimique peut selon les conditions de pression et de température changer d'état. Le concept d'état de la matière est, lui, totalement nouveau.

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De 1800 à 1900 :

Esquisse de l‟atome :

William Prout (1785 - 1850) est un chimiste et physicien britannique connu pour ses travaux en chimie.
En 1815, sur la base des tables qui donnent les masses des éléments disponibles à cette époque, il fait l'hypothèse, que la masse atomique de n'importe quel élément est un multiple entier de celle de l'hydrogène. Il suggère donc que l'atome d'hydrogène est la seule véritable particule fondamentale, et que tous les autres élé
ments sont constitués d'un amas de plusieurs atomes d'hydrogène.

John Dalton, (1766 - 1844), le 21 octobre 1803, il fit une conférence sur sa théorie atomique, selon laquelle la matière est composée d'atomes de masses différentes qui se combinent selon des proportions simples. Il proposa, aussi, un premier tableau portant sur six éléments (H, N, C, O, P, S) et treize combinaisons.

Dans un livre A New System of Chemical Philosophy, publié à Manchester en
1808, il symbolise différemment corps simples et composés par des symboles auxquels il donne un poids par rapport à l‟hydrogène (1 à l'atome d'hydrogène, 7 à l'atome d'oxygène, 5 à l'atome d'azote, et ainsi de suite). Tout en n'étant pas entièrement correctes, ses masses forment la base de la table périodique moderne des éléments. A partir de ce tableau, lors de la combinaison de deux élément il fit les constatations qui suivent
En premier lieu, quand deux éléments ne donnent naissance qu'à un seul composé, Dalton évoque la combinaison binaire : on peut donner en exemple de l'eau.
D'autre part, lorsque deux éléments sont susceptibles de former deux composés : l'un des composés est binaire et l'autre ternaire. (Exemple : le monoxyde de carbone et le gaz carbonique (dioxyde de carbone)
Dalton en travaillant sur les constituants de l'air, découvrit, à peu près en même temps que Louis Joseph Gay-Lussac, la loi sur la dilatation uniforme des gaz.

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Amedeo Avogadro, (1776 - 1856) est un physicien et chimiste, en 1811, il énonce l'hypothèse restée célèbre sous le nom de loi d'Avogadro. S'appuyant sur les théories de Dalton il découvre que « deux volumes égaux de gaz différents, dans les mêmes conditions de température et de pression, contiennent un nombre identique de molécules ».

Ainsi, il devient possible de déterminer la masse molaire d'un gaz à partir de celle d'un autre.
Avogadro admet l'existence du dihydrogène (H2) et du dioxygène (O2), qui devaient se décomposer pour donner deux molécules d'eau H2O. Mais ces
« décomposition » et recombinaison étaient encore problématiques.
A son époque, il y a confusion entre les termes atomes et molécules qui sont utilisés de manière indistinctes. L'une de ses contributions les plus importantes est de faire clairement la distinction entre les deux en admettant que les molécules sont constituées d'atomes (distinction que ne fait pas John Dalton). En réalité, il n'utilise pas le mot atome dans ses travaux mais il considère qu'il existe trois sortes de molécules, dont l'une est une molécule élémentaire (atome). Il effectue également une distinction entre les termes de masse et de poids.
En 1814, il publie un Mémoire sur les masses relatives des molécules des corps simples, ou densités présumées de leur gaz, et sur la constitution de quelques- uns de leur composé, pour servir de suite à l'essai sur le même sujet, publié dans le Journal de Physique, juillet 1811 qui s'intéresse à la densité des gaz.
Au début du XIXe siècle, Avogadro énonça sa loi, dite aussi loi des gaz parfaits (1811). Ampère l'encouragea en 1814, mais il se rétracta devant une levée de boucliers. En effet la communauté scientifique ne réserva pas un accueil enthousiaste à ses théories, et ses hypothèses ne furent pas acceptées immédiatement. Trois ans après lui, André-Marie Ampère obtenait les mêmes résultats par d'autres méthodes mais ses théories furent accueillies avec la même indifférence. Il fallut attendre le Congrès de Karlsruhe de 1860, qui admit que dans un gaz dit parfait, le volume V0 occupé par N particules, sous la pression P0 et la température T0 est le même quel que soit le gaz, ceci étant en fait une définition d'un gaz parfait. Il restait à mesurer ce nombre, ce qui n'était plus qu'une question de métrologie.

Louis Joseph Gay-Lussac, (1778-1850), est un chimiste et physicien français, connu pour ses études sur les propriétés des gaz.

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Gustav Robert Kirchhoff (1824 - 1887) établit que les raies spectrales de la lumière émise par un corps incandescent constituent une signature permettant d'identifier ce corps. En observant ainsi le spectre de la lumière solaire, il put reconnaître plusieurs éléments chimiques présents sur Terre.

Avec Robert Bunsen, il découvrit en 1860 grâce à l'analyse spectrale, le césium et le rubidium, ouvrant à l'Anglais Crookes, aux allemands Reich et Richter et à bien d'autres, la voie de la recherche de corps simples encore inconnus
John Alexander Reina Newlands (1837-1898), chimiste britannique publie en
1863 le premier tableau périodique des éléments, ordonnés en fonction de leur masses atomiques relatives, et émit l'hypothèse, en 1865, de la loi des octaves' selon laquelle les propriétés chimiques d'un élément de la table se retrouvent tous les huit éléments. On le ridiculisa à l'époque, mais cinq ans plus tard, le chimiste russe, Dimitri Mendeleïev, publia, indépendamment, ses travaux sous une forme plus élaborée.

Dimitri Ivanovitch Mendeleïev (1834-1907) Entre 1859 et 1861, travaille sur la densité des gaz à Paris, et au fonctionnement du spectroscope avec Gustav Kirchhoff à Heidelberg.
En 1863, il publie la première version anglaise du tableau périodique des éléments, ordonnés en fonction de leur masses atomiques, et émit l'hypothèse de la loi des octaves selon laquelle les propriétés chimiques d'un élément de la table se retrouvent tous les huit éléments. Pour qu‟il y ait correspondance toutes les octaves il lui manque des atomes dont l‟emplacement dans le tableau détermine les propriétés et auxquels il laisse une place dans sa table. Il présente son ouvrage, le 6 mars 1869, à la société russe de chimie, sous le titre : La dépendance entre les propriétés des masses atomiques des éléments.
Julius Lothar von Meyer (1830-1895), inconnu de Mendeleïev, travaillait à une classification périodique pratiquement identique bien qu'il ne soit jamais venu à l'idée de Meyer la possibilité de prévoir l'existence de nouveaux éléments. Meyer et Mendeleïev peuvent être considérés comme les créateurs de cette classification.

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Les constituants de l‟atome :

William Crookes (1832-1919) invente, en 1872, le tube électronique où il constate que les rayons cathodiques qui s'y créent sont faits de particules électriques en mouvement.

Les tubes de Crookes étaient des tubes à cathode froide. L'ionisation se réalisait lorsqu‟une tension de quelques kilos volts, à 100 kV, était appliquée entre les deux électrodes. Cette tension était fournie par une bobine de Ruhmkorff.
Lorsqu‟une tension élevée est appliquée entre l‟anode et la cathode, il génère un rayon

Crookes, en 1879, constate que les rayons émis, contrairement aux rayons lumineux, peuvent être courbés dans un champ magnétique.

Jean Perrin (1870-1942) en 1895, démontre que les rayons cathodiques sont composés de corpuscules de charge électrique négative (-e)

Joseph John Thomson (1856-1940) découvre que si les rayons cathodiques sont déviés par un champ magnétique c‟est qu‟une charge électrique est inclue dans le rayon.
Il construit un tube cathodique avec un vide plus poussé, et muni d'une couche de peinture phosphorescente au bout pour détecter des rayons incidents et constate une déviation dans un sens, qui indique que la charge des rayons cathodiques est constituée de corpuscules négatifs (-e).
Dans une nouvelle expérience, Thomson détermine le rapport de cette charge (-e) à la masse (e/m) des rayons cathodiques en mesurant leur déviation sous l'influence du champ magnétique ainsi que de leur énergie cinétique. Il calcule un rapport (e/m) mille fois plus faible que le rapport analogue pour un ion hydrogène (H+), ce qui suggère que les rayons cathodiques contiennent des particules négatives soit très légères soit très hautement chargées. Il observe également la production de particules positives. Ce qui l‟amène à conclure que les éléments constitutifs de l‟atome sont des particules positives et négatives.

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Les « corpuscules négatifs » découverts par Thomson sont des ELECTRONS. Déjà prévus par Stoney. La découverte de l'ELECTRON est annoncée le 30 avril 1897 devant la Royal Institution.

Ce qui l'amena à conclure que les éléments constitutifs de l'atome étaient des particules positives et négatives. Pour préciser que l'atome était constitué de ces charges, Thomson, en 1904, imagina un modèle atomique nommé “Plum-Pudding” dont l'agencement consistait en une
enveloppe positive contenant des charges négatives.

Ce modèle d‟atome en “Plum-Pudding” était un premier pas vers la réalité.

En 1906, Thomson montre que l'atome d'hydrogène ne contient qu'un ELECTRON. À cette époque certaines théories avaient envisagé divers nombres d‟ELECTRONs
Wilhelm Wien (1864-1928) en 1897, étudie des rayons cathodiques, en même temps que John Joseph Thomson mais par une autre méthode, et détermine rapport de la charge à la masse (e/m) des « atomes d'électricité » les ELECTRONs.

Antoine Henri Becquerel (1852-1908), physicien français, en 1896, découvre la radioactivité par hasard. C'est en observant une plaque photographique mise en contact avec le matériau qu'il s'aperçoit qu'elle est impressionnée même lorsque le matériau n'a pas été soumis à la lumière du Soleil : le matériau émet son propre rayonnement sans nécessiter une excitation par de la lumière. Il annonce ses résultats le 2 mars 1896, avec quelques jours d'avance sur les travaux de P. Thompson qui travaillait en parallèle sur le même sujet à Londres.

Marie Skłodowska-Curie, 1867 1934) polonaise, naturalisée française, en 1897 préparent son doctorat, elle se décide pour l'étude des rayons émis par l‟uranium. Embauchée par Henri Becquerel, elle utilise ingénieusement l'électromètre de précision inventé quinze ans plus tôt par les frères Curie pour quantifier l'ionisation produite par ces rayons.

Elle découvre que la pechblende (minerais d‟uranium) rayonne plus que l‟uranium. Avec son mari elle parvient à isoler de ce minerais un nouvel élément qu‟elle appelle radium d‟où le mot radioactivité.

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Elle démontre que la propriété des rayons radioactifs est une propriété physique de l'atome et non une propriété chimique : la radioactivité. Ses travaux sont présentés à l'Académie des sciences le 12 avril 1898, moins d'un an après le début de sa thèse de doctorat.
Des expériences ultérieures menées par Becquerel lui-même, ainsi que par Marie Curie et Pierre Curie ou encore par Ernest Rutherford montrèrent que la radioactivité est nettement plus complexe que le rayonnement X. En particulier, ils découvrirent qu'un champ électrique ou magnétique séparait les rayonnements en trois faisceaux distincts, qu'ils baptisèrent α, β et γ.
La direction de la déviation des faisceaux montrait que les particules α déviés vers le droit, étaient chargés positivement, les β déviés vers la gauche, étaient négatifs, et que les rayonnements γ allant tout droit étaient neutres. En outre, la magnitude de la déflection indiquait nettement que les particules α étaient bien plus massives que les β.

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De 1900 à 1914 :

La structure de l‟atome :

Ernest Rutherford, (1871-1937), en 1903, se pose des questions sur la nature exacte des rayonnements alpha ; en leur faisant traverser des champs électriques et magnétiques, il en déduit leur vitesse, le signe (positif) de leur charge et le rapport entre leur charge et leur masse.

En 1908, avec un de ses étudiants, Thomas Royds, il prouve définitivement ce qu'on supposait, à savoir que les particules alpha sont bien des noyaux d'hélium. Ou plutôt, que les particules alpha sont des atomes d'hélium une fois débarrassés de leurs charges négatives.

En 1909, avec la collaboration de Hans Geiger et Ernest Marsden, il reprend la théorie de Thomson de l‟atome « plum pudding » et réalise l‟expérience suivante :

De la matière radioactive émettant, sous vide, des particules ) (noyaux d'hélium, He) crée un faisceau orienté en direction d'une fine feuille d'or. Derrière cette couche d'or, un écran est placé, permettant de visualiser, par un scintillement lumineux, la collision par les particules (α).


Si la mince feuille est constituée de noyaux en plum pudding de Thomson en la bombardant par ce faisceau de particules ) celles-ci seraient toutes passées à travers.

Maintena nt dans le cas de
noyaux d‟or réels la majorité des particules (α) traversent la feuille d'or, sans être déviées mais une partie de ces particules,
de l'ordre de 0,01 %, a été déviée.

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De cette expérience, Rutherford, conclut que le noyau d‟un atome est une structure lacunaire. Il est constitué essentiellement de vide c'est pour cela que la plupart des particules ne sont pas déviées. Il existe de même des îlots de charge positive qui repoussent les particules (α). L'ordre de grandeur de ces îlots est infiniment petit par rapport à l'atome.

Conclusion : L'expérience de Rutherford montra qu'en réalité le noyau chargé positivement est de taille très petite devant le nuage électronique négatif qui l'entoure. La masse de l'atome est concentrée en un point extrêmement petit et dense que Rutherford appela noyau. De plus, la charge de ce noyau est positive, car les particules alpha sont repoussées par le noyau puisque des charges positives se repoussent entre elles. L'atome est neutre, c'est-à-dire qu'il y a autant de charges
positives que de charges négatives. Les charges négatives, ELECTRONs gravitent autour du noyau.
Cependant cette structure planétaire des ELECTRONs fut rapidement jugée instable. En effet, une charge électrique en rotation, selon les lois de l'électromagnétisme, doit perdre de l'énergie sous forme de rayonnement et finalement tomberait sur le noyau. Par ailleurs, ce rayonnement serait continu alors que les Astrophysiciens avaient relevé les spectres d'émission de nombreux atomes et constaté que ces spectres étaient des raies fines dont chacune correspond à une fréquence bien définie.
En 1911, Rutherford prouve que le noyau de l'atome d'hydrogène est présent dans les autres noyaux. Il remarque que lorsque des particules alpha sont envoyées dans un gaz d'azote, ses détecteurs de scintillation indiquent la signature de noyaux d'hydrogène. Il détermine ensuite que cet hydrogène ne peut provenir que de l'azote.

Ce noyau d'hydrogène est donc présent à l'intérieur d'un autre noyau. Rutherford baptise la particule correspondante du nom de proton, d'après le mot grec signifiant « premier »



À la suite de la découverte du noyau atomique par Ernest Rutherford, Antonius van den Broek émet l'hypothèse que la place de chaque élément dans la classification périodique est égale à la charge de son noyau. Cette hypothèse est confirmée expérimentalement par Henry Moseley en 1913.

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De 1914 à 1935 :

Rupture entre classique et quantique

:

Niel Bohr (1885-1962), en 1913, grâce aux travaux de Plank qui avait déclaré :
« Un corps chaud émet des paquets d'énergie en fonction de la quantité d'énergie accumulée ». Puis guidé par la formule (dite de Balmer),

qui associe les longueurs d‟onde () des raies composant le spectre de l'hydrogène, à la différence entre deux termes d'énergie la relation donnant les longueurs d'onde des raies : en accord avec les raies trouvées dans le visible par Angström et dans l'ultraviolet par Huggins.
Cela a permis de décrire l'atome comme émettant ou absorbant une certaine quantité d'énergie quantifiée.

Niels Bohr à partir de ce qui précède, élabore une théorie permettant l'interprétation spectroscopique de l'atome d'hydrogène. Il affirme qu'un ELECTRON qui reçoit de l'énergie de l'extérieur (comme de la chaleur) devient excité et passe d'une orbite interne à un autre plus externe. LELECTRON qui a été propulsé sur un autre niveau veut revenir à son niveau initial. Pour revenir, il libère, sous forme de lumière, toute l'énergie qu'il avait accumulée. La fréquence e la lumière varie selon la quantité d'énergie libérée. Les couleurs peuvent passer de l'infrarouge à l'ultraviolet. Sa théorie suppose que LELECTRON ne peut se trouver entre deux niveaux.

Niels Bohr en 1914, constate que l'atome planétaire de Rutherford n'était pas une mauvaise idée. Il se contente d'y ajouter trois postulats pour rendre le modèle compatible avec ses observations.

1 –LELECTRON de l‟atome d‟hydrogène ne rayonne pas d'énergie tant qu‟il reste sur son orbite fondamentale (N°1 ou K)

2 -ELECTRON qui parcourt différentes orbites quantifiées dites permises (1, 2, 3, ne rayonne pas d'énergie.)

3 LELECTRON qui tombe d‟une orbite N°4 sur une autre N°2, perd une quantité (ΔE) d‟énergie électrodynamique emportée par un photon entouré d‟une onde électromagnétique.


En 1922, Rutherford, pour expliquer l'existence des isotopes, postule qu'à côté des protons les noyaux atomiques contiennent des particules de masse analogue mais électriquement neutres (plus tard appelés neutrons).

Dès lors, il attribue les propriétés radioactives des atomes aux noyaux, et les propriétés chimiques aux ELECTRONs périphériques.

En 1930, en Allemagne, Walther Bothe et Herbert Becker, spécialistes du rayonnement cosmique observent que les éléments légers lithium, béryllium et bore, bombardés par des particules alpha (α), émettent des rayons « ultra pénétrants » qu‟ils supposent être des rayons gamma beaucoup plus énergiques que ceux émis par des noyaux radioactifs ou accompagnant les transmutations nucléaires.
En 1931, en France, Irène et Frédéric Joliot-Curie intrigués par ces résultats cherchent à comprendre la nature de ce rayonnement et découvrent qu‟il a la propriété de mettre en mouvement des noyaux atomiques et en particulier des protons.

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En 1931, Irène et Frédéric Joliot-Curie intrigués par ces résultats cherchent à comprendre la nature de ce rayonnement et découvrent qu‟il a la propriété de mettre en mouvement des noyaux atomiques et en particulier des protons.
En 1932, en Angleterre, aussitôt ces résultats parus, James Chadwick fait un test confirmant les résultats et va plus loin et mesurant avec précision l‟énergie des noyaux projetés en utilisant la réaction nucléaire (4He + 9Be → 12C), il peut affirmer que le rayonnement « ultra pénétrant » ne peut être un rayonnement gamma, d‟énergie très élevée, mais doit être composé de particules de masse 1 et de charge électrique 0 : c‟est le neutron.
Chacune des trois équipes avait travaillé avec les appareils dont elle disposait, mais aussi avec ses connaissances et avait baigné dans la tradition de son laboratoire. Il n‟est pas étonnant que ce soit au laboratoire de Cambridge, dirigé par Ernest Rutherford que le neutron ait été découvert. Depuis 1920, Rutherford, en effet, avait émis l‟hypothèse de l‟existence du neutron comme une association PROTON-ELECTRON Cependant l'explication des propriétés nucléaires oblige de reconnaître que le neutron est plutôt une particule aussi élémentaire que le proton..
En 1930, Wolfgang Pauli, pour expliquer pourquoi, dans le cas d‟un atome radioactif, tous les rayonnements bêta (β-) n‟avaient pas la même énergie ce qui était contraire à la loi de conservation de l‟énergie, inventa l‟existence d‟une particule neutre de masse très faible (plus tard appelé neutrino), qui serait émise en même temps que la particule bêta et partagerait avec elle l‟énergie libérée dans la désintégration.
En 1932, James Chadwick (1891 - 1974), en 1931 lors d'une expérience où il bombarde du béryllium avec des particules (α), remarque des radiations inconnues. Il découvre que ces radiations sont composées de particules de masse approximativement égale au proton mais sans charge électrique, les neutrons, précédemment imaginés par Rutherford.

Karl Heisenberg (1901(1976) en 1932, après la découverte du neutron par James Chadwick propose le modèle de noyau atomique composé de (z) protons répulsifs entre eux et (n) neutrons instables, tous les uns contre les autres en un même amas.

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Enrico Fermi (1901-1954) vers 1933, après la découverte du neutron, et sachant que sa durée de vie est réduite, propose la théorie de la désintégration (β-
) basée sur l‟hypothèse de Pauli, selon laquelle un couple (ÉLECTRON- neutrino) serait créé par un noyau radioactif au moment de sa désintégration en
trois éléments :

Neutron = proton + (ÉLECTRON + neutrino)

La désintégration (β-) concerne les atomes qui présentent un excès de neutrons. Le noyau de l'atome se désintègre pour donner un noyau fils généralement stable.
Le neutrino resta hypothétique jusqu‟à sa mise en évidence expérimentale, en

1956 par Frederick Reines et Clyde Cowan

Exemple du cobalt A gauche dans l‟atome de Cobalt l‟un des 33 neutrons se transforme en un proton en expulsant un couple (ÉLECTRON-neutrino). Avec un neutron de moins et un proton de plus le cobalt s‟est transformé à droite en un atome de nickel.

Tous les physiciens de l‟époque acceptèrent l‟atome de Niels Bohr et le noyau de Heisenberg et Fermi comme une simple transcription des réalités expérimentales. Mais tel quel, tous les physiciens savaient que l‟atome de

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Niels Bohr manquait de précisions et le noyau de Heisenberg et Fermi

n‟était pas stable et qu‟ils devront trouver les moyens de le stabiliser.

En effet, chacun pouvait constater :

1 – un noyau fait d‟un amas de protons et de neutrons les uns contre les autres ne pourrait pas exister car les protons face à face se repoussent violemment. Par ailleurs les neutrons libres ou dans l‟atome ont une durée de vie réduite (moins de 15 minutes).

2 - La masse d'un noyau (m) est toujours inférieure à celle de ses constituants pris séparément (z protons + n neutrons). Cette différence de masse est nommée défaut de masse.

Les ELECTRONs disposés autour du noyau selon Niels Bohr est certainement

la réalité mais il n‟explique pas comment elle se réalise :

1 – LELECTRON de l‟atome d‟hydrogène ne rayonne pas d‟énergie tant qu‟il
reste sur son orbite fondamentale (N°1 ou K) » mais pourquoi ?
2 – LELECTRON parcourt différentes orbites quantifiées dites permises » mais selon quels critères sont-elles quantifiées ?

Les physiciens classiques prirent leur temps.

Ce fut la rupture :

Dès 1930, un mathématicien pressé, en modifiant, à sa façon, la structure électronique de l‟atome de Niels Bohr créa une équation avec des éléments inventés lui permettant de calculer le spectre de l‟hydrogène. D‟autres universitaires lui emboîtèrent le pas, ce fut le début de la physique quantique.

Entre temps les mathématiciens quantiques furent les seuls à proposer rapidement des solutions, certes imaginaires, à de nombreux problèmes. Ils prirent ainsi l‟ascendant sur les vrais physiciens.

J‟utilises peu le terme « physicien » pour parler des quantiques car ce sont tous, avant tout, des mathématiciens qui font de la physique.

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De 1935 à 2012 :

Les innovations ignorées :

Particules élémentaires :

On appelle sous particules ou plus précisément particules élémentaires les constituants fondamentaux de la matière de l'univers. Ces particules subatomiques sont dites élémentaires parce qu'elles ne sont pas constituées d‟éléments plus petits.

Les particules élémentaires étant les constituants de la matière, elles étaient présentes à l‟origine de l‟univers et devaient avoir une structure qui réponde à l‟exigence universellement admise selon laquelle :

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »

Ce qui implique que les particules élémentaires qui constituent aujourd‟hui l‟univers soient de nature gravitationnelle possédant en puissance les deux formes d‟électricité (positive et négative).
Il faut savoir que L‟électricité, à elle seule, génère trois autres forces fondamentales. En effet, si vous placez des ELECTRONS immobiles sur un câble, leurs charges cumulées rayonnent un champ électrique constant qui se propage dans l‟environnement proche. Si vous animez ces ELECTRONS sous la forme d‟un courant continu et régulier un champ magnétique constant se mêle au précédent. Si maintenant vous animez les ELECTRONS d‟un mouvement rapide de va et vient les deux champs précédents se mêlent en un champ électromagnétique qui s‟envole au loin comme les ondes radio, qui d‟un émetteur, parviennent jusqu‟à chez vous.

Les particules élémentaires qui structurent la matière sont de nature

gravitationnelle et possèdent en puissance les deux formes d‟électricité.

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Les neutrinos :

Depuis 1900, les neutrinos invisibles sont partout en nombre considérable à tel point des astrophysiciens se demandent s‟ils ne constituent pas la matière noire de l‟univers. Mais aucun n‟a pris l‟initiative de les admettre comme des particules élémentaires à l‟origine de la matière.

Que ce soit l‟action des rayons cosmiques dans la haute atmosphère ou celle des collisionneurs, chaque fois qu‟il y a collisions d„une extrême puissantes, par exemple entre deux protons, il se crée des débris instables (moins de 10-10 seconde) qui en disparaissant laissent, atour de la machine les milliards de neutrinos desdits protons.

Si lorsque tout a disparu il reste des milliards de neutrinos stables, c‟est que ceux-ci sont réellement les particules élémentaires qui structurent la matière.

Selon la définition des particules élémentaires il faut que les neutrinos de nature gravitationnelle possèdent en puissance les deux formes d‟électricité (positive et négative).

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Loi de Louis de Broglie

La loi de louis de Broglie n‟a jamais été prise dans sa réalité c‟est pourquoi je la
reprends comme une innovation et laisse l‟auteur s‟expliquer :« Le 25 novembre

1924 je soutiens ma thèse dont l‟idée fondamentale est :

« À toute particule matérielle de masse (mi)) animée d‟une vitesse (vx) doit être "associée" une onde réelle reliée à la quantité de mouvement (mi.vx) par la relation : x = h / (mi.vx). Où (λx) est la longueur de l‟onde externe et (h) la constante de Planck »

Louis de Broglie ajoute :

Mon idée, je la précise en disant que la particule en mouvement à la vitesse (vx) doit être le siège d‟un mouvement périodique interne de longueur d‟onde i = h./ m.c) et quelle doit se déplacer dans son onde externe λx = h / (mi.vx) de façon à rester en phase avec elle, ce qui détermine son mouvement dans l‟onde.

Louis de Broglie précise :

La découverte, en 1927, par Davisson et Germer du phénomène de la diffraction des ÉLECTRONS et son extension expérimentale grâce aux travaux de G. P. Thomson et de Maurice Ponte démontrèrent expérimentalement l‟exactitude de
mes idées


D‟autres expériences confirmant la théorie de Louis de Broglie, par la suite, furent réalisées avec des neutrons, des protons et des noyaux atomiques. En
1932, Esterman et Stern ont fait diffracter un faisceau d'hélium. En 1999 des chercheurs de l'Université de Vienne, ont fait diffracter du fullerène (molécule C60).
En 2011, selon la revue POUR LA SCIENCE n°409, des chercheurs des universités Paris-sud et bordeaux dont Philippe Bouyer généralisent la loi de Broglie aux molécules comportant plusieurs centaines d‟atomes.
L‟idée de Louis de Broglie : est confirmée : les particules se comportent bien comme des photons. Mais un photon fait d‟énergie oscille de par sa nature alors qu‟une masse gravitationnelle ne peut avoir que la capacité d‟osciller. On

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retrouve le même problème en ÉLECTRONIQUE : si l‟on construit un circuit oscillant sur une fréquence (f) il n‟a d‟oscillant que son nom car pour osciller il faut qu‟il soit excité par une autre oscillation sur la même fréquence (f) que l‟on peut qualifier de référence. En quelque sorte une masse est comme une caisse de résonance gravitationnelle il faut une oscillation également gravitationnelle extérieure dite de référence pour l‟exciter. Mais quelle est cette oscillation de référence d‟où vient-elle ?
Il y aurait une solution bien simple : il faudrait que les neutrinos qui constituent la caisse de résonance soient en même temps l‟émetteur de cette onde de référence.

Extension de l‟idée de Louis de Broglie :

Par hasard j‟ai découvert un texte dans lequel le professeur Fritjof Capra

de l‟université de Berkeley, proposait en 1979 :

« Compte tenu que la science moderne s‟avère incapable de rendre compte des phénomènes physiques relatifs à la structure de la matière, on doit se référer à la conception trop souvent ignorée selon laquelle la matière serait sous-tendue » par une oscillation.

Mais c'est bien sûr :

Toute masse gravitationnelle est une caisse de résonance, celle accordée sur la fréquence de référence (fo) des neutrinos génèrent une oscillation qui sous-tend la structure de cette caisse.

Selon l‟obligation des particules élémentaires d‟être à l‟origine des phénomènes qui n‟ont pas une autre source : il faut que les neutrinos soient de nature gravitationnelle oscillant sur la fréquence de référence (fo) et possédant en puissance les deux formes d‟électricité (positive et négative).

Comment cela peut se réaliser : on sait

qu‟un neutron est fait d‟un milliard et

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quelques de neutrinos gravitationnels oscillant sur la fréquence de référence
(fo).
Les forces gravitationnelles des neutrinos les orientent vers le centre de sorte qu‟en périphérie ils forment une tension superficielle et à l‟intérieur des rangs disposées à égales distances les uns des autres.
Les neutrinos générant chacun une oscillation de fréquence (fo) qui toutes en phases créent une onde qui se réfractant sur la tension superficielle constitue en retour une onde stationnaires qui sous-tend la structure du neutron.
Un neutron a une capacité énergétique (Eo = m.c²) lié à une capacité
d‟oscillation :

fo = Eo /h = 2,27192 Hz c‟est la fréquence de l‟oscillation de référence. D‟où une loi complémentaire à celles de Louis de Broglie :

Toute masse gravitationnelle est une caisse de résonance, seules celles
accordées sur la fréquence de référence (fo) des neutrinos génèrent une oscillation qui sous-tend leur structure.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Toute sa vie Louis de Broglie défendit son idée conforme à la théorie classique :

Tandis que je cherchais à développer mes idées primitives, un courant d‟idées tout différent se développait au Danemark, en 1924. De jeunes chercheurs à l‟esprit beaucoup plus abstrait que le miens notamment, Pauli, Heisenberg et Dirac, développèrent une nouvelle théorie, sous le nom de mécanique quantique.

Cette nouvelle théorie déforme la théorie de Louis de Broglie :

« Les particules, dont les électrons, sont alternativement des corpuscules puis des ondes, jamais les deux à la fois ».


Aujourd‟hui on prétend que Louis de Broglie est à l‟origine de cette nouvelle théorie voici ce qu‟il écrivit avec beaucoup de délicatesses :

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Au printemps de 1926, Erwin Schrodinger s'inspirant de mes travaux, mais à mon avis d'une façon qui les a déformés, écrivit l'équation d'onde qui porte son nom.
La théorie de Schrodinger avait le tort de considérer une propagation d'onde sans localisation de la particule, ce qui était, tout à fait, contraire à mes idées.

L'électricité selon Richard Feynman

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En lisant ce court texte de Richard Feynman (1918-1988) à la première page de son livre « Electromagnétisme », je me suis dit « c‟est formidable »

:

Considérons une force analogue à la gravitation qui varie comme l‟inverse du carré de la distance, mais qui soit environ 1036 fois plus intense. Et avec une autre différence. Il y a deux espèces de matière, que nous pouvons appeler positive et négative. Celles de même espèce se repoussent et celles d‟espèce différentes s‟attirent, contrairement au cas de la gravité où il y a seulement attraction. Que va-t-il se passer : un amas d‟éléments positifs se repousserait avec une force énorme et éclaterait dans toutes les directions. Un amas d‟éléments négatifs en ferait autant. Mais un mélange égal de positifs et négatifs ferait quelque chose de tout à fait différent. Les éléments opposés seraient maintenus ensemble par des attractions énormes. Le résultat global serait que les forces terrifiantes s‟équilibreraient entre elles presque parfaitement en formant des mélanges fins et serrés d‟éléments positifs et négatifs, et entre deux amas d‟un tel mélange il n‟y aurait pratiquement pas du tout d‟attraction ou répulsion

Personne n‟a tenu compte de ce texte pourtant fondamental : Deux charges électriques inverses, en se liant, ne disparaissent pas mais se superposent et se neutralisent.

Ce texte laisse imaginer qu‟il pourrait y avoir des grains minuscules neutres de nature gravitationnelle constitués de deux grains différents entourés : l‟un d‟une unité d‟électricité positive (q+), l‟autre d‟une unité d‟électricité négative (q-). Les deux se superposent, sans s‟annuler, en un grain neutre qui rayonne un champ gravitationnel.

On peut envisager la définition des grains-Feynman comme constitués d‟une matière gravitationnelle possédant en puissance les deux formes d‟électricité (plus et moins) qui se superposent sans s‟annihiler ce qui correspond aux neutrinos.
Entendons-nous bien, un électron et un positron s‟attirent avec une telle violence qu‟ils s‟éclatent sans se superposer. Mais dans certaines circonstances leurs forces attractives réduite se superposent.

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Comportement des charges électriques :

J’ai pris l’initiative de prolonger l’idée de Feynman :

Les grains-Feynman () ne peuvent se dissocier en ( ) et () que s'ils se lient à d'autres grain-Feynman neutres ( ) sur lesquels chaque demi grain d’électricité forme une sorte de fluide élastique qui s’étale sur toute la surface disponible.

Deux charges différentes ne se neutralisent pas mais se superposent selon

Feynman :

Les neutrons se désintègrent en moins de 15 minutes :

Neutron ► PROTON +(ELECTRON + neutrino)

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Les neutrons sont faits de milliards et quelques de neutrinos. Curieusement lors de leur désintégration il y a éclatement d‟un seul neutrino en deux charges électriques l‟une positive (positron) l‟autre négative (électron). C‟est dans cette seule circonstance de la désintégration d‟un neutron que se manifeste ce phénomène sans qu‟on ne sache pourquoi ni comment, sur internet on trouve le fait de la désintégration sans autre explication.

Nous retiendrons : que c„est dans les circonstances de la désintégration du neutron, qu‟un seul grain d‟électricité neutre parmi des milliards se sépare en deux unités d‟électricité l‟une positive l‟autre négative sans ne savoir pourquoi ni comment.

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Neutron ► PROTON + (ELECTRON + neutrino)

←Les grains-Feynman

de la surface d‟un neutron

←Un grain-Feynman se dédouble en

deux demi grains d‟électricité

←Les grains -Feynman neutres restent associés à chaque charge électrique.

←La charge positive est liée au

proton

←La charge négative est liée à

l‟électron.

Commentaires du dessin ci-dessus : lorsqu‟un grain-Feynman neutre () de la surface d‟un NEUTRON se dédouble en deux grains : l‟un l‟électron () s‟envole en arrachant un nombre constant de grains-Feynman, l‟autre le positron () habille ce qui reste du NEUTRON qui devient un PROTON.

Conclusions :

Les neutrinos sont les particules élémentaires de la matière

Dans les circonstances de la désintégration du neutron, un seul grain d’électricité neutre parmi des milliards se sépare en deux unités d’électricité l’une positive l’autre négative sans ne savoir pourquoi ni comment.

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Les Neutrons :

Il se sont créés en même temps que

l‟univers.

Il y a 14 milliards d‟années :

Les physiciens semblent unanimement admettre qu‟à un moment proche de son origine l‟univers était un nuage de particules élémentaires (grains-Feynman). Cela ne préjuge pas de son état antérieur qui sera décrit dans un autre livre « origine de l‟univers »

Dans ce nuage primordial, les grains-

Feynman bousculés par l‟agitation thermique, au hasard des chocs, formaient des particules primaires à l‟intérieur desquelles le champ gravitationnel des grains-Feynman figés ensembles était orienté vers leur centre, de sorte qu‟en périphérie, comme dans une goutte d‟eau, ils formaient une faible tension superficielle capable de stabiliser, un certain temps, la particule.

Dans l‟ambiance agitée, parmi les particules primaires peu stables qui se formaient, se déchiraient, se reconstituaient, il se trouva des (neutrons=N) plus stable que les particules primaires

Parmi toutes les particules instables qui se formaient les neutrons avaient en plus de leur tension superficielle l‟oscillation de Louis

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de Broglie pour sous-tendre leur structure et leur procurer un peu plus de stabilité, ils se désagrègent en moins e 15 minutes.

Les neutrons se désintègrent en moins de 15 minutes :

Neutron ► PROTON + (ELECTRON + neutrino)


La désintégration du neutron est à l‟origine du proton qui n‟est autre que le noyau de l‟atome d‟hydrogène et d‟un électron qui ne tarda pas à tourner autour,

ensemble ils formèrent un atome d'hydrogène.

Il faut remarquer que le nuage originel était uniquement fait de neutrinos, de sorte que les neutrons dont sont issus les protons et électrons sont tous uniquement faits de neutrinos

De ce qui précède il en résulte une Loi :

Un milieu agité n‟a aucune influence sur la tension superficielle des neutrinos Feynman périphériques ni sur l‟oscillation qui sous-tend la structure du neutron qui reste stable le temps de se désagréger.

Et une modification de la loi de Louis de Broglie :

Toutes les particules dont les neutrons sont des caisses de résonance, mais seuls sont stables celles accordées sur la même fréquence (fo) que l‟onde de référence des grains-Feynman ce qui génère l‟oscillation qui sous-tend sa structure.

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Visualisation en détail de la désintégration d‟un NEUTRON.

Lorsqu‟un grain-Feynman se sépare en deux demi-grains d‟électricité l‟un positif l‟autre négatif, chaque grain reste obligatoirement lié à d‟autres grains-Feynman neutres selon le schéma ci-dessous.

←Les grains-Feynman

de la surface d‟un neutron

←Un grain-Feynman se dédouble en

deux demi grains d‟électricité

←Les grains -Feynman neutres restent associés à chaque charge électrique.

←La charge positive est liée au

proton

←La charge négative est liée à

l‟électron.

Commentaires du dessin ci-dessus : A l‟instant où un grain-Feynman neutre ( ) de la surface d‟un NEUTRON se dédouble en deux demi grains : l‟un négatif () s‟envole en arrachant un nombre constant de grains-Feynman neutres autour desquels il s‟étale pour former un ELECTRON, l‟autre positif ( ) habille ce qui reste du NEUTRON qui devient un PROTON.

Nous insisterons dans un prochain livre « L‟origine de l‟univers » sur ce phénomène qui se réalise uniquement lors de la désintégration des neutrons.

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Les NEUTRONS libres :

On distingue les neutrons thermiques ou neutrons lents qui ont une vitesse inférieure à 2 190 m/s. des neutrons dits neutrons rapides dont la vitesse est supérieure à 13 170 km/s

Un neutron lent ne rencontrant pas de répulsion coulombienne de la part des protons, peut s‟en approcher sans être perturbé, Il n‟est donc pas nécessaire de lui communiquer une grande vitesse pour réussir cette approche. Si l‟on se réfère à la définition de la section efficace, on voit
que le neutron peut passer un temps relativement long au voisinage
d‟un proton.
Si un neutron peut approcher un PROTON pourquoi resterait-il collé à ce PROTON

comme l‟avaient cru les physiciens en 1932. Alors qu‟il est aussi simple de le
faire pénétrer.

Il en résulte un deutérium (²H) isotope stable d‟hydrogène dont la capacité énergétique est (E = ma. c²= 1,876 MeV). L‟unité de charge électrique de l‟enveloppe comprimant les neutrinos Feynman de la caisse de résonance en modifie d‟un facteur (K) la capacité d‟oscillation (K.E/h=4,54392.10²3 = 2.fo). Cette oscillation sous-tend la structure du deutérium.

Chaque fois qu‟un neutron pénètre dans un noyau stable, les deux masses ayant leurs grains-Feynman bien en place dans leurs alvéoles, leur champ gravitationnel orienté vers le centre. Ceux de la périphérie du neutron ne se distinguant plus des autres, les deux forment une seule et même masse.
En fonction de (z / A) le nouvel atome peut devenir radioactif.

46

Les neutrinos :

Depuis 1900, les neutrinos invisibles sont partout en nombre considérable à tel point des astrophysiciens se demandent s‟ils ne constituent pas la matière noire de l‟univers. Mais aucun n‟a pris l‟initiative de les admettre comme des particules élémentaires à l‟origine de la matière.

Que ce soit l‟action des rayons cosmique dans la haute atmosphère ou celle des collisionneurs, chaque fois qu‟il y a collisions d„une extrêmement puissantes par exemple entre deux protons fait de grains-Feynman, il se

-10

crée des débris instables (moins de 10

seconde) qui en disparaissant

laissent, atour de la machine les milliards de grains-Feynman desdits protons.

Si lorsque tout a disparu il reste des neutrinos stables, c‟est que ceux-ci sont réellement les particules élémentaires qui structurent la matière. Je vous propose donc, dans les pages qui suivent, de remplacer grain-Feynman par neutrino-Feynman.

47

Le PROTON


Alors que les neutrinos Feynman des neutrons sont tenus faiblement en place par leur tension superficielle et les alvéoles des ondes stationnaires. Les neutrinos Feynman d‟un proton suporte en plus la pression d‟une unité d‟électricité (q+) qui s‟est étalée à sa surface pour y former l‟enveloppe dont la pression modifie d‟un facteur (k) la fréquence de Louis de Broglie
Rp = k.mp c² /h =fo = 2,27.1023. Hz.
Dès lors, il se crée dans le volume du proton des ondes stationnaires en alvéoles qui sous-tendent sa structure. Ce qui confère au proton une durée de vie de 1033 ans soit 10 fois l‟âge de l‟univers

Il en est ainsi pour tous les atomes avec des limites voire page 64.

48

L‟électron d‟André Julg :

J‟ai eu la chance de consulter Universalis de 1985, à la rubrique « liaisons chimiques » et au paragraphe « Force de Van der Waals » dans lequel André Julg, professeur à l‟université d‟Aix, précise : « La limite extérieure de l‟atome est celle de la zone d‟impénétrabilité de l‟électron »

Nous venons de constater que les ELECTRONS résultent de la désintégration des neutrons :

>Les ELECTRONS Sont de minuscules boules de neutrinos Feynman étroitement enserrés dans un demi-grain d‟électricité négative, et entourés d‟une zone d‟impénétrabilité. Ils sont extrêmement stables.

La limite extérieure de l‟atome est celle de la zone d‟impénétrabilité de l‟ÉLECTRON, dont le rayon (R) est de 1,2 angström pour l‟hydrogène.

Sans sa zone d‟impénétrabilité dans un atome l'électron le plus proche du noyau tomberait dessus. Personne encore n‟en avait donné la raison. La suite est encore plus importante puisqu‟elle explique la force de Van der

Waals :

Lorsqu'un électron tourne autour d'un PROTON devenu le NOYAU d'un atome d‟hydrogène, sa sphère d'impénétrabilité, en circonvolution autour dudit NOYAU, s'aplatit.

C‟est le phénomène de la force de Van de Waals :

49


L‟atome d‟hélium compte deux électrons en vis à vis sur une même orbite (K) où ils génèrent un disque de structure dont les deux extrémités sont occupées par des arcs (G) de grande résistance. Ce disque qui ne peut se lier à aucun autre est dit de structure. L‟Hélium est un atome inerte.

UN DISQUE DE VALENCE prolonge une orbite sur laquelle gravite un seul électron. Ce disque est apte à se lier avec le disque d’un autre atome. UN DISQUE DE STRUCTURE prolonge une orbite saturée par deux électrons. Ce disque ne peut se lier à aucun autre atome.

Cette loi ignorée est pourtant fondamentale au niveau de la structure des atomes. En effet la zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge crée un disque de valence dont le rayon (Rv= 1,2 Å) donne la mesure extérieure de l'atome

Liens de Van der Waals entre atomes univalent :

50

Entre atomes bivalents :

Nous étudierons ce cas sans préciser l‟élément chimique dont il est question, sachant que tout ce que nous écrirons à propos d‟un ATOME bivalent vaudra pour tous les ATOMES complexes.

Possibilité N° 1

Possibi lité N° 2


Lorsque plusieurs combinaisons sont possibles, seul le hasard détermine le choix initial, mais dès qu‟une première liaison s‟est constituée les autres se forment selon les mêmes axes de symétrie.

51

Les physiciens classiques savent que l‟électron ne tombe pas sur le noyau et connaissent les liaisons de Van der Waals mais en ignorent les raisons fondamentales.

L‟électron dans un circuit électrique :

Les électrons, dans un fil conducteur non relié à une pile sont immobiles et génèrent un champ électrique statique. Si le fil est relié à une pile (+ ) les électrons, séparés par l‟onde gravitationnelle qui les entoure, forment un courant électrique continu qui génère deux champs statiques l‟un électrique, l‟autre magnétique. Si l‟on branche, aux extrémités du fil, une tension oscillante, il se crée dans le fil un courant oscillant qui génère deux champs oscillants l‟un électrique l‟autre magnétique qui se mêlent en un champ électromagnétique qui s‟envole au loin, c‟est l‟ondes radio qui d‟un émetteur parvient jusqu‟à chez vous.

Quant à la zone d‟impénétrabilité de l‟électron dans l‟atome elle est liée à sa vitesse de l‟ordre de 3.000 km/seconde autour du noyau qui engendre un mouvement rotatif sur lui-même. Cette vitesse de toupie entraîne son champ gravitationnel et son champ électrique qui s‟enroulent atour de lui sans perdre leurs particularités.

52

53

Réalité de l‟atome stable :

Ses orbites sont stables :

Il y a deux raisons à la stabilité d‟un atome : celle de ses orbites électroniques et celle de son noyau.
Commençons par Niels Bohr qui, en 1914, constatait que l'atome planétaire de Rutherford n'était pas une mauvaise idée et se contenta d'y ajouter trois postulats pour rendre le modèle compatible avec ses observations.
1 – LELECTRON de l‟atome d‟hydrogène ne rayonne pas d‟énergie tant qu‟il reste
sur son orbite fondamentale (N°1 ou K)

Sur cet orbite l‟ELECTRON entouré de sa zone d‟impénétrabilité ne

risque pas de tomber sur le noyau.

(Voir page 48).



2 – LELECTRON qui parcourt différentes orbites quantifiées dites permises
(1, 2, 3, 4) ne rayonne pas d‟énergie.

En effet, il faut savoir que les orbites des atomes sont quantifiées par le fait que, selon Louis de Broglie (voir page 31), LELECTRON est entouré d‟une oscillation de longueur d‟onde égale à un multiple de x = h / (mi.vx) et règle

54

sa vitesse pour se retrouver à chaque tour en phase avec son oscillation. C‟est-à-dire que la longueur de son orbite doit être un multiple entier de sa longueur d‟onde.

3 LELECTRON qui tombe d‟une orbite N°4 sur une autre N°2, perd une quantité (ΔE) d‟énergie électrodynamique emportée par un photon entouré d‟une onde électromagnétique.

Dans ce troisième postulat n‟y a rien à modifier c‟est la réalité connue des

physiciens classiques et démontrée ci-après.

Tout ce paragraphe et ce qui suit sont connus des physiciens classiques sauf

quelques détails, c‟est donc une simple mise au point.

Nous venons de constater que les orbites électriques d‟un atome sont

stables. Nous constaterons pourquoi le noyau l‟est aussi à la page 60.

55

Pour confirmer ce qui précède, voici le calcul, avec les seuls moyens de

l‟arithmétique, du spectre lumineux émis par l‟atome d‟hydrogène

A - Egalité entre force centrifuge et force électrostatique :

U = me . (vn)2 / rn = K . q2 / (rn)2 = 2,3.10-28 / (rn)2 et ( vn)² = 253 / rn (1)

B - Accord de phase entre l‟onde de Broglie [=. h / (me . vx)] qui entoure l‟ÉLECTRON et la longueur de l‟orbite (L = 2. . rn) que parcourt l‟ÉLECTRON.

Il en résulte : 2. . rn = n . h / (me . vn) d‟où on déduit la vitesse (vn) :
vn = 1,157 . 10-4 n / rn (vn)2 = 1,34 . 10-8 n2 / (rn) (2)

C - Formules (1 et 2) impliquent : rn = 5,296 . 10-11 n2 (3) Energie électrostatique U = 2,3. 10-28 /rn (en Ev) Energie cinétique Ec = me . v²n / 2 = 2,3 . 10-28 / (2 . rn) Energie globale U + Ec = -2,3 . 10-28 / (rn . 2)

En introduisant (3) Ex = U + Ec = 2,17 . 10-18 / n² =13,6 / n²

Tableau des niveaux d'énergie des électrons

.

56

Comportement des photons

Dans le vide, le PHOTON de longueur d‟onde () voyageant à la même vitesse (c) que son onde électromagnétique, se cale dans le nœud frontal (A) de ladite onde électromagnétique qui oscille en phase avec l‟oscillation interne du photon.

En milieu complexe (ci-dessous) : lorsqu‟un photon traverse un réseau d‟atome, il ralentit à une vitesse (vx  c) mais reste accordé sur la (f = E / h). Lorsque cette onde interne se développe d‟une longueur d‟onde () en un temps (t =  / c) le photon c‟est
déplacé dans l‟espace d‟une distance (dx = vx t), de sorte que le photon réémet
une onde alors que l‟onde externe n‟a parcouru qu‟une distance (x =   dx).
Les chiffres (0.1.2.3.4.) au centre du rond, ci-dessous sont espacés de la distance (x =   dx) qui est la longueur de l‟onde électromagnétique qui entoure le photon dans un milieu complexe :
On a donc. t = λ / c = λx / vx → λ / λx = c / vx = n (indice de réfraction)
λ / λx = fx / f = n → fx = n . f

57

Les photons ont une vie infinie à moins qu‟ils ne se brisent sur un obstacle.

Ce champ électromagnétique qui entoure un photon, en tous points comprend deux vecteurs (H et E) qui sur deux plans (x et y) perpendiculaires entre eux et à la direction de propagation décrivent deux courbes sinusoïdales perpendiculaires entre elles et à la direction de propagation, de fréquence (fx) et de longueur x)


Polarisation : Une lumière est dite polarisée lorsqu'au même moment, tous ses photons ont leurs vecteurs électriques (E) orientés dans la même direction, comme dans un rayon laser.

La lumière émise dans notre atmosphère par plusieurs atomes est constituée de plusie

La lumière est dite cohérente si les vecteurs (E) des ondes électromagnétiques

de ses photons sont tous orientés dans la même direction.

58

Les ondes électromagnétiques (radio)

Alors que la lumière est formée de photons individuellement entourés d‟une onde électromagnétique. L‟onde de radio est une onde électromagnétique pure qui ne comporte ni photon, ni autre particule :


Les électrons, d‟un fil conducteur non relié à une pile (+ ) sont immobiles et génèrent un champ électrique statique. Si le fil
est relié à une pile (+ ) les électrons forment un courant électrique continu qui génère deux
champs statiques l‟un électrique, l‟autre
magnétique. Si l‟on branche, aux extrémités du
fil, une tension oscillante, il se crée dans le fil un courant oscillant qui génère deux champs oscillants l‟un électrique l‟autre magnétique qui se mêlent en un champ électromagnétique qui s‟envole au loin, comme les ondes radio qui d‟un émetteur, parviennent jusqu‟à chez vous.

Le vecteur E représente l'onde électrique

Le vecteur H représente l'onde magnétique

Un système d‟émission d‟un champ électromagnétique dit de radio comprend l‟émetteur qui génère et amplifie un courant oscillant relié à une antenne

d‟où s‟envole le champ électromagnétique dit hertzien ou de radio.

Il ne faut pas confondre la lumière et les ondes électromagnétiques

(radio). Ce sont deux phénomènes différents.

La lumière est produite par les Atomes ou tout électron qui entre

deux états perd de l‟énergie.

L‟onde électromagnétique (radio) est produite uniquement par un

courant électrique.

59

Domaines du spectre électromagnétique

Nom

Longueur d'onde(m)

Fréquence(Hz)

Énergie du photon (eV)

Rayon gamma

< 10 pm

> 30 EHz

> 124 keV

Rayon X

10 pm – 10 nm

30 EHz – 30 PHz

124 keV – 124 eV

Ultraviolet

10 nm – 390 nm

30 PHz – 750 THz

124 eV – 3,2 eV

Visible

390 nm – 750 nm

770 THz – 400 THz

3,2 eV – 1,7 eV

Infrarouge

750 nm – 0,1 mm

400 THz – 3 THz

1,7 eV – 12,4 meV

Térahertz / submillimétrique

0,1 mm - 1 mm

3 THz - 300 GHz

12,4 meV - 1,24 meV

Micro-ondes

1 mm - 1 m

300 GHz - 300 MHz

1,24 meV - 1,24 μeV

Ondes radio

1 m – 100,000 km

300 MHz – 3 Hz

1,24 μeV – 12,4 feV

Les ondes hertziennes sur fond jaune sont des ondes électromagnétiques à l‟état
pur sans photons voire détail page précédente.
Toutes les autres sur fond bleu sont des photons entourés d‟un champ
électromagnétique.

60

Les noyaux atomiques stables :

A la page 53 vous avez constaté pourquoi les orbites d‟un atome sont stables. Mais tel qu‟il est décrit ci-dessous son noyau ne serait pas stable, heureusement il y a une autre réalité (Page 61).
Karl Heisenberg (1901-1976) en 1932, après la découverte du neutron par James Chadwick propose le modèle de noyau atomique composé de (z) protons et (n) neutrons tous les uns contre les autres en un même amas.

Le noyau de Heisenberg et Fermi est une simple transcription des réalités expérimentales mais tel que, il n‟est pas stable. Pourtant c‟est encore aujourd‟hui la conception de quasiment tous les physiciens.

Heureusement la réalité du noyau stable est venue, aux alentours des années 1980, d‟une idée simple mais géniale d‟un groupe de quatre physiciens et certainement beaucoup d‟autres inconnus, et dernièrement confirmation par deux expérimentateurs de l‟institut nucléaire d‟Orsay :

Cette idée simple et évidente que personne n‟a prise en compte permet de

comprendre la stabilité des noyaux atomiques.

61

Une idée simple mais géniale :

J‟ai eu la chance de trouver dans un livre et des revues le témoignage de ces quatre savants puis deux autres scientifiques

Marc Lefort de l‟institut de physique nucléaire d‟Orsay, écrivait (page 203) de


La recherche en physique Nucléaire 1983. LE SEUIL.

« Les noyaux ne sont pas des sacs de billes-nucléons (protons et neutrons) mais semblent constitués d’une matière relativement visqueuse » A bien des égards, les noyaux atomiques peuvent être considérés comme des gouttes d’un fluide particulier : la matière nucléaire.

Francis Natter, du centre d’étude nucléaire de Saclay, ajoute :

« Il n’est pas impératif que les noyaux atomiques soient faits de protons et neutrons, ils pourraient être formés à partir de particules élémentaires inobservables.

R Schaeffer du commissariat à l’énergie atomique, précisait :

« Il est possible que, dans les noyaux atomiques, les neutrons et les protons

perdent leur identité pour ne plus être qu’un magma de sous particules »

Haim Harari, de l’institut Weizmann en Israël. (Page 92 du n°68 de la revue : Pour la Science) :

« Dans un noyau, les nucléons (protons et neutrons) ne seraient que des unités de référence pour mesurer les masses nucléaires constituées, en réalité, d‟un gaz de sous particule. Ces sous-particules devraient être petites à un point presque inimaginable »

Ces sous-particules petites à un point presque inimaginable de sont les neutrinos-Feynman.

SCIENCE&VIE dans son numéro de février 2013 confirme cette réalité :

« Deux scientifiques : Elias Khan et Jean-Paul Ebran de l‟institut nucléaire d‟Orsay ont constaté que le noyau atomique n‟est pas un amas de neutrons et protons collés les uns aux autres, mais des volumes de liquide, de bulles, de nuages.

62

Mais cette idée géniale est-elle réalisable ?

En effet si les atomes sont faits de neutrinos Feynman il n‟y a plus de radioactivités possibles puisque les protons et les neutrons sont réduit en un gaz de neutrinos Feynman. Voyons comment peut se réalisent ces radioactivités :

Les radioactivités :

Il faut savoir ce que radioactif veut dire : Dans un noyau atomique l‟enveloppe des (z) unités d‟électricité des protons compriment la masse des neutrinos-Feynman des (z) PROTON et des (n) neutrons qui en retour exerce une force d‟extension proportionnelle à (A=z+n). L‟équilibre se réalise lorsque (z/A=0,5), avec des marges entre 0,45 et 0,55. Dans ces limites l‟oscillation des neutrinos-Feynman stables créent une trame d‟ondes stationnaires qui sous- tend leur structure. Si le rapport est nettement différant de ces limites, les neutrinos-Feynman s‟agitent et ne peuvent pas former d‟ondes stationnaires, l‟atome est radioactif.
Si (z/A) est inférieur à (0,5) c‟est qu‟il y a plus de NEUTRONS que de PROTONs et le noyau est radioactif (β-), s‟il est supérieur, c‟est qu‟il y a plus de PROTONS que de NEUTRONS et le noyau est radioactif (β+). Ici nous prendrons les atomes tels qu‟ils sont, pour savoir comment ils se comportent dans leur état
La radioactivité - : Le noyau émet un ELECTRON et un neutrino. Exemple : dans un tritium (3H) constitué d‟une seule unité d‟électricité (z = 1) qui enveloppe les neutrinos Feynman d’un PROTON et ceux de deux NEUTRONS
(A=z+n = 3) de sorte que (z/A=0,33) le tritium est radioactif (β-). Ses neutrinos
Feynman perpétuellement agités ne peuvent pas s‟orienter pour produire une oscillation interne ni un champ gravitationnel orienté. L'ambiance dans le noyau est celle à l‟origine de l‟univers (page 41) où tout naturellement dans le gaz agité des neutrinos Feynman s‟assemblèrent pour former un NEUTRON qui se désagrégea en moins de 15 minutes. Là aussi dans le noyau agité il se forma un NEUTRON qui se désagrégea :

Neutron = PROTON + (ELECTRON + neutrino + Ec énergie cinétique)

             (1)                                   (2)                                 (3)

Ci-dessus, en (1) le neutron dans le tritium s‟est désagrégé. En (2), La charge électrique positive du PROTON par répulsion ouvre, dans l‟enveloppe positive,
une brèche qui permet à LELECTRON -) et au NEUTRINO grâce à leur énergie
cinétique de s‟enfuir.

Dans le même instant (Dessin ci-contre) (1) l‟énergie du PROTON le pousse vers la brèche qui s‟ouvre davantage (2) et la comble (3) tandis que ses neutrinos Feynman libérés se mêlent à ceux du tritium (3H). Celui-ci dans cette opération, son enveloppe gagnant une unité de charge électrique, est devenu, en gardant la même masse, un atome stable d‟hélium (3He)


Les deux unités (q+) d‟électricité de son enveloppe en s‟entourant de 2 ELECTRONS se neutralisent. Ainsi se constitue un atome neutre d‟hélium (3He).

64

La radioactivité + : Le noyau émet un POSITON et un neutrino.

Neutron = antiproton+ positon (β+) + neutrino + EC

Remarque préalable : Une charge (q+) n‟est pas divisible mais lorsqu‟une charge (q+) occupe toute une surface celle-ci ne se fractionne pas si on y ouvre une fenêtre.
Les carbone 12 et 13 dont les rapports (z/A) sont respectivement 6/12=0,5 et
6/13= 0,46 sont stables.

Le carbone 11, isotope du carbone dont le noyau est constitué de 6 protons et de

5 neutrons a un rapport (z/A=0,545) correspond à un état radioactif (+).

                                           1                       2                       3

En (1) le carbone 11 est radioactif ce qui veut dire que ses neutrinos Feynman sont agités comme ceux à l’origine de l’univers où se sont édifiés des NEUTRONS. Là également il se crée un NEUTRON qui se désagrège d’une façon particulière N°  P- + + +  + Ec.

Quant à l'ANTIPROTON (P-), sa charge négative attirée par la charge positive de l‟enveloppe s‟y mêla en reconstituant un neutrinos Feynman et en libérant les autres neutrinos Feynman
En (3) le noyau conservant sa masse et son enveloppe perdant une unité de charge électrique devient un atome de bore 11

Les radioactivités se réalisent normalement. Les noyaux peuvent donc être constitués uniquement des neutrinos Feynman de leurs PROTONS et NEUTRONS. Dès lors il n‟y a plus, dans les noyaux, de protons répulsifs entre eux ni de neutrons instables. La masse d‟un noyau est égale au cumul des masses de ses constituants.

65

66

Pourquoi les noyaux sont stables ?

1 – Parce qu‟ils sont conformes à la loi Harari ;

Dans un noyau atomique : les (z) unités (q+) d‟électricité des (z) protons forment une enveloppe dans laquelle les PROTONS et les neutrons se sont dilués en un gaz de neutrinos Feynman.
Il n‟y a plus de protons qui se repoussent mutuellement, plus de neutrons instables, plus de noyaux moins lourds que ses constituants

2- Parce qu‟ils sont conformes à la loi de Louis de Broglie :

Au niveau atomique toute masse gravitationnelle est une caisse de résonance faite de neutrinos Feynman. Mais seules les masses dont la caisse de résonance est accordée sur la fréquence de référence (fo) des neutrinos Feynman ou son harmonique génèrent une oscillation qui sous-tend leur structure et engendre autour un champ gravitationnel oscillant sur ladite fréquence (fo) ou son harmonique si la masse est inerte ou voyage à faible allure. A grande vitesse la fréquence extérieure change.

3- Parce qu‟en plus leur rapport (z / A) est correct :

Il faut que, dans son noyau le rapport (z / A) où (A = z + n) soit proche de (0,5). S‟il est nettement différent l‟atome devient radioactif mais retrouve sa stabilité selon les cas par une désintégration (-) ou (+), (Voir page 62)

67

Structure des noyaux stables

Un noyau atomique est fait des neutrinos Feynman de (n) NEUTRONS et de (z)

PROTONS

L’enveloppe est constituée des

(z) unités (q+) des PROTONS

Structure des orbites de l’atome stables :

Un noyau stable qui s‟entoure d‟un nombre (z) d‟ELECTRONS égal au nombre d‟unités (q+) d‟électricité de son enveloppe devient un atome planétaire stable. En effet les orbites sont minutieusement calibrées (Page

53), chacune est égale à un multiple entier de la longueur d‟onde de l‟oscillation de Louis de Broglie x = h / (mi.vx) .

Lithium

68

Les premiers atomes stables

A la page 41 nous avons constaté que dans le gaz primordial de l‟univers fait uniquement de neutrinos Feynman, s‟étaient formés des neutrons qui se désintégrèrent en moins de 15 minutes.

Constatation de la désintégration du neutron

NEUTRON = PROTON+ ÉLECTRON + NEUTRINO + Ec

Le secret du NEUTRON, c‟est d‟être stable assez longtemps pour se former dans une structure immuable qui lui permet de se désintégrer selon un processus aussi immuable
Un ELECTRON ne tarda pas à tourner autour d'un PROTON sans s'y mêler, grâce à sa zone d'impénétrabilité. Ils formèrent ensemble un atome d'hydrogène.

Dans un atome d‟hydrogène la charge positive du PROTON se neutralise par un seul ELECTRON périphérique. On constatera que les noyaux s‟entourent d‟un nombre d‟ELECTRONS (z) égal au nombre de ses PROTONS.

69

J‟ai eu la chance de consulter Universalis à la rubrique liaisons chimiques et au paragraphe force de Van der Waals, André Julg, professeur à l‟Université d‟Aix précise :
« La limite extérieure de l‟atome est celle de la zone d‟impénétrabilité de l‟électron dont le rayon (Rv) pour divers atomes est en Å : hydrogène 1,2 ; carbone 1,17 ; azote 1,55 ; oxygène 1,52 ; fluor 1,47 ; phosphore 1,8 ; soufre
1,8 ; chlore 1,75 ; cuivre 1,4.

Cette zone d‟impénétrabilité empêche, dans un atome, l‟électron le plus proche du noyau de bombe dessus.

Lorsqu'un électron tourne autour d'un PROTON devenu le NOYAU d'un atome
d‟hydrogène, sa sphère d'impénétrabilité, en circonvolution autour dudit NOYAU, s'aplatit.

Cette loi encore ignorée de physiciens classique ignorée est pourtant fondamentale au niveau de la structure des atomes. En effet la zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge crée un disque de valence dont le rayon (Rv= 1,2 Å) donne la mesure extérieure de l'atome.

Alors que l'unité (q+) de charge électrique d'un PROTON isolé habillait toute la surface de son volume, lorsqu'un ELECTRON tourne autour, par attraction l'unité

70

(q+) se rassemble en une ceinture dans le plan de l'orbite électronique et dans le volume du disque de valence. La zone d'impénétrabilité aplatie par la force centrifuge structure un disque de valence dont le rayon (Rv) donne la mesure extérieure de l'atome. Ce disque de valence présente un arc (G) de grande résistance et un arc (V) de moindre résistance qui peut se lier à un autre atome. Ici l‟atome d‟hydrogène est univalent.

Cette loi est d‟autant plus importante qu‟elle est à l‟origine des liaisons de

Van der Walls qui lient deux atomes.

Un DISQUE DE VALENCE prolonge une orbite sur laquelle gravite un seul ÉLECTRON. Ce disque est apte à se lier avec le DISQUE DE VALENCE d‟un autre atome.

Rappelez-vous que les masses du NEUTRON et du PROTON sont accordés sur la fréquence de l‟onde de référence (fo) qui en se réfractant sur l‟enveloppe crée des alvéoles qui sous-tendent leur structure.


Par ailleurs, de multiples expériences prouvent que Les neutrons lents dont la vitesse est inférieure à 2190 m/s. en raison de leur neutralité, ne subissent pas la
répulsion coulombienne. Ils peuvent donc pénétrer à l'intérieur des noyaux.

(1) (2) (3)

Dessin N°1 : un NEUTRON avant de se désintégrer, a le temps de rencontrer un PROTON (1H). Aucune barrière électrique ne les séparant, le NEUTRON se glisse dans le PROTON (dessin N°2). Les deux masses ayant leurs neutrinos Feynman bien en place dans leurs alvéoles, leur champ gravitationnel orienté ve.rs le centre. Ceux de la périphérie du NEUTRON ne se distinguant plus des autres, tous formèrent une seule et même masse (dessin N°3), celle d‟un deutérium (2H), isotope stable d'hydrogène entouré d‟une enveloppe constituée d‟une seule unité d‟électricité (q+) dont la capacité de résonance est accordée sur l‟harmonique (2) de l‟onde de référence (E K/ h = 4,54,1023 = 2.fo).

71

Il faut retenir cette loi :

Chaque fois qu‟un neutron pénètre dans un noyau stable, les deux masses ayant leurs neutrinos Feynman bien en place dans leurs alvéoles, leur champ gravitationnel orienté vers le centre. Ceux de la périphérie du neutron ne se distinguant plus des autres, les deux forment une seule et même masse.
En fonction de (z / A) le nouvel atome peut devenir radioactif.

La même opération que ci-dessus peut se prolonger : avant de se désintégrer un autre neutron a le temps de pénétrer un deutérium stable (2H) mais c‟est un neutron de trop et le tritium (3H) dès qu‟il se forme devient radioactif (β-), en effet (z / A = 0,33).

Dans un tritium (3H) radioactif, les neutrinos Feynman se bousculent dans toutes les directions. Tout naturellement, comme dans le gaz originel, (page 41) il s‟y reconstitue un NEUTRON. Du fait que son environnement est constitué de neutrinos Feynman agités ceux-ci n‟ont aucune influence sur la tension superficielle des neutrinos Feynman périphériques du neutron qui reste stable le temps de se désagréger.

Il s‘en suit une loi :

Un milieu agité n‟a aucune influence sur la tension superficielle des neutrinos Feynman périphériques ni sur l‟oscillation qui sous-tend la structure du neutron qui reste stable le temps de se désagréger

1 2 3

Dessin N° 1, le NEUTRON s‟est désintégré en un PROTON, un ELECTRON et un

NEUTRINO.

Dessin N°2 la charge électrique positive du NEUTRONS par répulsion ouvre, dans l‟enveloppe positive, une brèche qui permet à LELECTRON -) de par son énergie cinétique de s‟enfuir avec un NEUTRINO non représenté.

72

Dans le même instant l‟enveloppe du PROTON e déchire. Alors que ses grains Feynman se dispersent, certains liés à la charge positive du PROTON ouvrent plus grande la brèche et la comblent, selon le

processus ci-contre

(Dessin ci-contre), le tritium (3H), avec la même masse et la même oscillation, est devenu un noyau d‟HELIUM (3He) stable.
La seule différence réside dans l‟enveloppe qui possède deux charges électriques (z = 2) qui se juxtaposent de sorte que l‟hélium (3He) comme le tritium (3H)) a une capacité de résonance R = E K/ h = 3 fo.
Le noyau d‟hélium (3He) est composé des neutrinos Feynman de 2 PROTONS et un NEUTRON le tout enveloppé de 2 unité (q+) d‟électricité celle des 2 PROTONS. Il en résulte un rapport entre nombre de charge et nombre de masses égal à
2 / 3 = 0,66) leur masse est stable.

Les deux unités (q+) d‟électricité de son enveloppe en s‟entourant de 2 ELECTRONS
se neutralisent. Ainsi se constitue un atome neutre d‟hélium (3He).

Les deux ELECTRONS (1 et 2) en opposition de phase sur la même orbite saturent celle-ci et le disque, qui la prolonge, présente deux arcs (G) de grande résistance et aucun arc (V) de moindre résistance. Ce disque qui ne peut se lier à aucun autre est dit de structure. L'Hélium est un atome inerte qui ne peut se lier à aucun autre.

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Il faut compléter la loi précédente (Page 69) avec les constatations ci-dessus

1 - Un DISQUE DE VALENCE prolonge une orbite sur laquelle gravite un seul ELECTRON. Ce disque est apte à se lier avec le DISQUE DE VALENCE d‟un autre atome. 2 - Les orbites saturées par deux ELECTRONS constituent une ARMATURE DE STRUCTURE QUI ne peut se lier à un atome.


Un NEUTRON, en pénétrant un NOYAU d'HELIUM (3He), forma un NOYAU d'HELIUM (4He) stable. Deux autres neutrons d‟un coup, en pénétrant le NOYAU d'HELIUM (4He) stable créèrent un noyau d‟hélium (6He), mais c‟était réellement trop et le noyau d‟hélium (6He) se montra radioactif -).
1 2 3

Dans la masse de l‟hélium (6He) instable il se forma (1) un neutron qui se désagrégea (2) en (un PROTON, un ELECTRON et un NEUTRINO). Le PROTON resta sur place en ouvrant une fenêtre dans l‟enveloppe, par où (LELECTRON -) et le neutrino Feynman) grâce à leur énergie s‟envolèrent. Quant à la charge (q+) (3) du PROTON elle se mêla au deux charges de l‟enveloppe. Avec la même masse mais une charge (q+) en plus il s‟est créé un noyau de lithium (6Li)

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Lithium (6Li)


Comme dans le cas de l'hélium, les deux premiers ELECTRONS occupent et saturent l'orbite (K) mais ne compensent pas les trois unités (q+) d'électricité de la ceinture nucléaire. Lorsqu'un troisième ELECTRON se présente, attiré par la charge résiduelle (q+) il ne peut percevoir celle-ci que sur l'un des plans passant par les axes (xx') ou (yy'). Imaginons que le troisième ELECTRON se présente sur le plan passant par l'axe (yy') et se cale sur cet axe, de telle sorte qu'il décrive une orbite (L1). En faisant abstraction de la première orbite de structure (K) saturée par les ELECTRONS (1 et 2), l‟atome de lithium avec son troisième ELECTRON dont l'orbite (L1) se prolonge par un disque de valence.

La loi se généralise :

Les orbites sur lesquelles gravite un seul ELECTRON se prolongent par un DISQUE DE VALENCE. Les orbites saturées par deux ELECTRONS constituent une armature DE STRUCTURE qui ne peut se lier à aucun autre atome.

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Conclusion :

De ci de là, le plus souvent dans les livre J‟ai découvert, depuis déjà plusieurs dizaines d‟années, des concepts qui semblaient anodins mais en réalité étaient fondamentaux. Jusqu‟à présent j‟ai cherché à les faire admettre par les physiciens classiques sans succès. Aujourd‟hui je les ai développés au maximum et les présente, dans ce livre, comme le complément à la physique classique. Mais, n‟ayez crainte, j‟en laisse la paternité aux auteurs.
Certes les physiciens classiques constatent que l‟univers et ses constituants sont
stables mais ils ignorent pourquoi !
En 1924, La thèse de Louis de Broglie décrit l‟idée que toutes les particules sont entourée d‟une onde. Il en reste là. Mais je découvre un texte selon lequel le professeur Fritjof Capra de l‟université de Berkeley, en 1979, révèlent que « les structures des particules et des noyaux atomiques sont sous tendues par

une oscillation » (Voir page 33)

Xxxxxxxxxx
Les physiciens pensent tout connaitre à propos de l‟électricité mais ils ignorent pourquoi d‟un neutron sortent deux particules de charges inverses et comment une charge positive peut se joindre à d‟autres charges positives à la surface d‟un noyau atomique ?
En 1964, à la première page de son traité d‟Electromagnétisme Richard Feynman décrit l‟électricité en précisant « deux charges opposées ne se neutralisent pas mais se superposent ». Ce qui permet de comprendre, à présent, la désintégration d‟un neutron, et la juxtaposition des unités d‟électricité sur la surface des atomes. (Voir pages 43 et 51)

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Certes les physiciens classiques constatent qu‟un électron ne tombe pas sur le noyau d‟un atome et que deux atomes se lient par la force de Van der Waals, mais quel en est la raison ?
Dans l‟encyclopédie Universalis de 1985, à la rubrique « liaisons chimiques André Julg, professeur à l‟université d‟Aix, précise : « La limite extérieure de l‟atome est celle de la zone d‟impénétrabilité de l‟électron ». Ce qui permet d‟expliquer pourquoi, dans un atome, l‟électron le plus proche du noyau atomique ne tombe pas dessus, et quel est l‟origine des forces de Van der Waals. (Voir page 48)

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Que ce soit, depuis 1960, dans les rayons cosmiques de la haute atmosphère ou, plus récemment, dans les collisionneurs, chaque fois qu‟il y a choc extrêmement puissantes entre deux particules, il se crée des débris instables qui en disparaissant laissent des NEUTRINOS STABLE.

« Si, lorsque tout a disparu, il reste des neutrinos stables, c‟est que ceux-ci sont réellement les particules élémentaires qui structurent la matière »

(Voir page 46)

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Les spécialistes sont restés avec la structure des noyaux atomiques fait le proton répulsif entre eux et de neutrons instables.

En 1983 de nombreux physiciens ont suggéré : « Dans un noyau, les nucléons (protons et neutrons) ne seraient que des unités de référence pour mesurer les masses nucléaires constituées, en réalité, d‟un gaz de sous particule. »

Ce qui fut confirmé par SCIENCE&VIE dans son numéro de février 2013 :

« deux scientifiques : Elias Khan et Jean-Paul Ebran de l‟institut nucléaire d‟Orsay ont constaté que

« Le noyau atomique n‟est pas un amas de neutrons et protons collés les uns aux autres, mais des volumes de liquide, de bulles, d‟un nuage . . . » C‟est donc la réalité des noyaux sont fait des neutrinos Feynman des neutrons et des protons. (Voir page 46)

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Mais voilà, il y a un problème : comment faire accepter ces nouveaux concepts classiques aux mathématiciens quantiques qui occupent tous les postes de la physique de l‟éducation nationale et au dire des mauvaises langues : ils iraient jusqu‟à contrôler ce que publient les revues scientifiques.
Quant aux physiciens classiques où sont-ils ?
En plus, le fait qu‟un vieil ingénieur présente des concepts nouveaux, ce ne peut être sérieux. Pourtant rien dans ce livre n‟est inventé, tout provient de théoriciens confirmés.

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DIVERSES UNITES

1,602.10"

Force g

Travail:

ff=JJL

Puissance:

Jf.Lit

Pression: Pr = fff .m2

Electricité

MKS SI

Newton: N

N = 1 kg.m/s

Joule: J

J = 1 N.1 mètre

Watt:

W = 1 J/s

Pascal: Pa= N.m·2

Coulomb: C

1 A= 1 C/s

CGS

Dyn

= 1 g.cm/s

= 10·5 N

Erg

= 1 dyn. 1 cm

J = 107 Erg

W = 107 Erg/s

Dyn.cm/s

Barye = D.cm-2

B = 10·1 Pa

Pa= 10-5 bar

Franklin : Fr

= 3,3310·10 c

Unités de longueur: .

Fermi Angstrôm Micron

Année Lumière

Parsec

fm

Â

Il a.l pc

10·15 m

10·10 m

10·6 m

9,461.1015 m

3,085.1016 m